L’autre façon de se soigner !

 

 

DIS-MOI OU TU AS MAL, JE TE DIRAI POURQUOI ?

Les cris du corps sont des messages de l’âme.

 

 

 

Dans ma rubrique se soigner par « les remèdes naturelles », je vous ai donné quelques conseils. Mais : Il y a aussi d’autres façons de se soigner que la médecine traditionnelle, et de voir les choses autrement et en face !

 

En médecine traditionnelle, on soigne les maux superficiellement, ce qui peut apporter un soulagement – Mais souvent on ne connaît pas la cause ? Celle qu’il faudrait peut-être apprendre à entendre, en écoutant son corps, afin d’améliorer certaines choses si on veut bien s’y intéresser un peu ?

 

 

 

Pourquoi j’ai mal au dos ? 

 

Il a beaucoup, beaucoup de raisons … Ne dit-on pas que c’est le mal du siècle ? Ou encore : « J’en ai plein le dos … » ! Nous allons en voir quelques-unes …

 

 

 

 

 

Pourquoi j’ai un excès de poids ?  (Bravo à l’auteur de cette photo)

 

 

 

Pourquoi je souffre de maux de tête ? Les causes sont aussi très nombreuses.

 

 

 

Pourquoi je souffre de maux d’estomac ? 

 

 

Pourquoi je souffre du foie ?

 

 

 

Pourquoi j’ai une sciatique ? 

 

 

 

Pourquoi j’ai des inflammations ?

Etc. …

 

Pour cela je me suis inspirée de livres très intéressants que je possède, et que je vous conseille de vous procurez. Vous serez surpris de tout ce qu’ils vous révèleront !

Comme par exemple :

Le grand dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel aux Editions Quintessence. 

 

 

Mais aussi : Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi (Les cris du corps sont des messages de l’âme). De Michel Odoul aux éditions Albin Michel.

 

 

Puis dans le genre : les ouvrages de Lise Bourbeau : « Ecoute ton corps »

 

 

Tous vraiment très intéressants et sérieux !

 

Bref ! Sachez que tout peut s’expliquer autrement !

 

Il y a aussi toutes les médecines alternatives que l’on connaît qui peuvent également soulager : l’acupuncture, la thérapie, la réflexologie plantaire, puis les chiropracteurs, guérisseurs, magnétiseurs, l’homéopathie, les soins par les plantes, les huiles essentielles, les vieilles méthodes naturelles et j’en passe !... Et le côté « psychologique » ? Pas beaucoup y pense, et pourtant dans bien des cas, en suivant les quelques conseils, certains maux pourraient peut-être, être évités ! Il y a un peu de travail à faire sur soi-même, mais ça vaut le coup de s’y intéresser un peu ! Je vous donne quelques extraits, et vous vous ferez votre opinion vous-même !

 

 

Mais, ce qu’il y a de plus rationnel c’est : écouter son corps qui sait nous faire comprendre lorsque trop c’est trop ! C’est là où il faut absolument savoir ce qu’il se passe en nous ? C’est très important ! Je sais, ce n’est pas toujours évident, mais cela peut permettre de modifier certaines choses, ou les voir autrement pour nous soulager. Voici donc quelques explications.

Bien sûr, cela n’exclue pas une visite chez un Docteur si nécessaire !

 

Voici quelques messages symboliques du corps !

 

  

 

Qui ne souffre pas du dos ??? Nous allons donc commencer par celui-ci :

 

Le squelette et les os représentent notre structure (notre architecture intérieure). Chaque fois que nous souffrons des os, cela signifie que nous souffrons dans nos structures intérieures, dans nos croyances de vie. La plupart de ces structures sont non conscientes, ce sont nos archétypes (Image originelle existant dans l’inconscient – L’archétype en lui-même est une énergie probablement indépendante de l’esprit humain) les plus profonds, ce sur quoi nous sommes inconsciemment et en permanence appuyés dans notre quotidien, dans notre relation de vie. Les grandes croyances des peuples (histoires, cultures, coutumes, religions) font partie de ces archétypes, mais aussi celles qui nous sont plus personnelles  comme le racisme, l’éthique, le sens de l’honneur, de la justice, les perversions ou les peurs viscérales.

 

Les os sont ce qu’il y a de plus profond en nous, autour de quoi tout est construit, sur quoi tout repose, s’appuie. C’est aussi ce qu’il y a de plus dur, de plus rigide, et de solide en nous. Ce qui fait que lorsque nous sommes profondément perturbés, touchés, bouleversés dans nos croyances profondes, de base par rapport à la vie, à ce que nous croyons qu’elle est ou qu’elle doit être, notre structure osseuse nous l’exprimera par de la souffrance, ou un désagrément.

 

Par exemple : l’ostéoporose. Puis lorsque tout va mal, que l’on en a marre, que l’on ressent une fatigue extrême, des déceptions, du chagrins et tant d’autres chose … ne dit-on pas que nous en avons plein le dos ! Tout est dit : notre colonne est notre pilier ! Cependant il est assez rare que l’on souffre de tout le dos, souvent, les souffrances sont plus localisées à un endroit précis du corps : jambe, bras, tête, poignet etc. …  

 

Prenons la scoliose : c’est l’un des exemples les plus frappants. Cette déformation de la colonne vertébrale, qui peut prendre des formes graves, a des caractéristiques très particulières. Elle touche les enfants pendant leur croissance, et s’arrête en général après la puberté. C’est lorsqu’il grandit, c’est-à-dire lorsqu’il se dirige vers le monde adulte, et qu’il quitte le monde de l’enfance. Si le monde des adultes ne le satisfait pas, son désir inconscient va lui faire refuser ce monde peu attirant, et va choisir de rester dans celui de l’enfance qui le satisfait mieux. Il va figer les repères extérieures de sa croissance, ceux qu’il « voit » et peut mesurer … Cependant la colonne vertébrale va continuer à grandir et est « obligée » de s’inscrire entre ces deux points fixes. Lorsque la crise est grave, on dit alors que la scoliose « flambe ».

 

Un exemple réel parmi d’autres que vous retrouverez dans le livre : Dis-moi où tu as mal …

 

Une jeune fille de 14 ans avait un problème de scoliose « flambante » pour lequel les spécialistes avaient conseillé de porter 24 h/24 un corset rigide enfermant le torse de l’enfant, et ce pour une durée minimale de plusieurs mois !

 

Son père qui venait en consultation pour des problèmes de sciatique parla de sa fille. Il était clair que ce traitement était un « mauvais programme » qui ne la rendait pas heureuse. Il lui fut alors conseillé de se faire assister par une amie qui pratiquait une technique qui s’appelle l’orthobionomie (diverses méthodes de contact, pour activer et renforcer l’auto-guérison. L’orthobionomie préconise une relation étroite entre le patient et le thérapeute. Les patients ne doivent pas ressentir de douleur durant le traitement), ainsi que par un homéopathe. Dans le mois qui suivit la jeune fille stoppa net l’évolution de sa scoliose.

 

Que se passait-il dans la vie de cette enfant ? Dans l’année qui précéda sa visite, elle avait perdu tous ses repères du fait de la décision d’adultes ! Déménagement, changement d’école et activité professionnelle très prenante d’un père qui lui semblait trop absent, lui ont fait perdre confiance dans le monde des adultes. Cependant elle avait un « soleil » dans son cœur, la présence et la complicité profonde d’une amie d’école qui lui était chère. Elle fut à nouveau « trahie » par des adultes, car les parents de cette amie décidèrent de déménager, et la mère de la jeune fille refusa qu’elles continuent à se voir épisodiquement ou à entretenir une correspondance. De ce jour notre jeune fille de 14 ans arrêta de grandir.

 

Dans le grand dictionnaire des malaises et des maladies : On vous explique aussi que notre dos représente le soutien et le support de la vie …  

 

C’est l’endroit qui me protège si je me sens impuissant face à une personne ou à une situation. Si mon fardeau est trop lourd, si je manque de support ou si je ne me sens pas assez supporté (sur le plan affectif, monétaire etc. …) mon dos réagira en conséquence, et certaines douleurs comme des courbatures, pourront faire leur apparition.

 

Vous connaissez l’expression : « J’en ai plein le dos » mon dos n’en peut plus et les malaises surgissent. J’ai l’impression que ma survie est en danger et j’ai l’impression qu’on va me « laisser tomber », que ce soient des gens qui m’entourent ou tout simplement la vie qui veut me fausser compagnie. Je ne supporte plus ce qui m’arrive.

Je peux même avoir l’impression d’être « acculé au pied du mur » dans une certaine situation donnée ou d’avoir « toujours quelqu’un sur mon dos ».

 

Je prends conscience que je m’appuie sur quelque chose ou quelqu’un qui est extérieur à moi. Puisque je ne leur fais pas entièrement confiance, j’ai de la difficulté à aller de l’avant. Je vis une frustration, me sentant pris et limité dans les choses que je peux mettre de l’avant. Je ne suis plus capable de bien doser les choses pour prendre des décisions averties. Je peux avoir le dos large et être capable d’en prendre ou de m’incliner humblement, de me courber par respect ou par acceptation. Peu importe la raison, un mal de dos indique donc que je veux peut-être me sauver de quelque chose ? Il cache aussi mon passé, l’inconscient, l’inconnu, même mes rêves et mes désirs que je ne crois plus pouvoir réaliser. Je suis profondément blessé, incapable d’exprimer mes émotions bloquées. Je refuse de voir ce qui ne fait pas mon affaire. Je vis une situation comme une trahison. Si la douleur est causée par une vertèbre déplacée, face à quelle situation suis-je révolté, à quel idéal est-ce que j’aspire, mais de façon agressive ? Je résiste de toutes mes forces, car j’ai peur des responsabilités.

 

Un dos souple, mais fort, indique une certaine souplesse mentale et une grande ouverture d’esprit, contrairement aux raideurs dorsales qui signifient : orgueil, pouvoir et refus de céder. Si les douleurs au dos sont plutôt musculaires, elles indiquent une attitude rigide face aux situations que je rencontre dans ma vie.

 

Si je suis en réaction face à l’autorité, si je veux tenir ma place face à quelqu’un ou devant quelque chose, je vais « raidir le dos » par orgueil. Si au contraire, je vis la soumission, si j’ai peur, si je me sens faible, je vais « courber le dos ». Plus mes préoccupations sont grandes, plus mon dos va me faire souffrir. Etc. … les exemples sont nombreux (faites le test pour vous).

On vous explique aussi dans ces ouvrages que selon l’endroit qui vous  fait mal cela correspond à une région de notre corps.

 

Mal dans le haut du dos correspond à la région du cœur, et au centre énergétique cardiaque. C’est à ce niveau que j’ai ou non la force de porter mes émotions.

Les 7 vertèbres cervicales se rapportent à la communication (la parole surtout) et à mon degré d’ouverture face à la vie. On peut les prendre une par une, chacune révèle une cause. Je ne vais pas toutes les citer, mais si vous le souhaiter, je peux les approfondir sur votre simple demande.

 

Ce que l’on appelle les vertèbres cervicales basses, elles régiront à de l’injustice que je peux avoir l’impression de vivre dans ma vie ou à celle que je vois autour de moi et qui me répugne.

 

La première vertèbre cervicale « Atlas » C1 sert de support à la tête. C’est le pilier qui garde la tête en équilibre. Si je m’en fais trop « me casse la tête » par rapport à une personne ou une situation, si je me tracasse continuellement et que je doute, ma tête va s’alourdir jusqu’à me donner des maux de tête.

C1 pourra avoir de la difficulté à supporter la charge si je manifeste de l’étroitesse d’esprit, si je refuse de regarder toutes les facettes d’une situation, si je suis rigide dans ma façon de penser, C1 réagira en cessant ses activités. Elle sera paralysée par ma peur, mon désespoir face à la vie, mon négativisme et ma difficulté à exprimer mes émotions.

Un mauvais état général de C1 s’accompagne généralement de maux qui touchent la tête, le cerveau et le système nerveux, comme la migraine, l’amnésie, les vertiges, la dépression nerveuse etc. …

Quand c’est la tête qui est affectée par différents maux, c’est mon individualité qui est remise en question. « Qu’est-ce qu’on va penser de moi ? » « Suis-je à la hauteur ? » « Où j’en suis avec ma vie ? » Je cherche à m’éloigner de mes émotions. Je me joue un jeu afin de ne pas avoir à me regarder en face. Je préfère adopter un comportement rigide pour rester dans ma zone de confort, mais tôt ou tard, je vais devoir tourner la tête pour voir ce qui se passe autour et à l’intérieur de moi. J’ai un grand besoin de communiquer même si j’ai souvent l’impression que l’on ne m’écoute pas. J’ai tendance à avoir des pensées ou comportement obsessionnels.

 

C2 travaille en étroite collaboration avec C1.

 

C3 Si elle ne se porte pas bien, je vais mal aussi : je peux me replier sur moi-même, vivre « dans ma bulle », éviter toute forme de contact ou de communication avec mon entourage. Je pense « A quoi bon perdre mon temps, de toute façon on ne m’écoute pas, et on ne comprend pas mes états d’âme. » Peuvent alors survenir la révolte, le découragement, la détresse, même l’angoisse car ma sensibilité est touchée au plus profond de moi. Mes désirs s’évanouissent peu à peu, je deviens irritable, amer. Je suis fatiguée d’avoir à prouver ma valeur, de me sacrifier pour les autres etc. …

 

Il faut donc que j’écoute mon intérieur, que je garde mon esprit ouvert, amener plus de calme dans ma vie afin de diminuer mon activité cérébrale, me permettant ainsi de voir la réalité sous un nouveau jour, avec plus de confiance. Je prends ma vie en mains et j’accepte de me voir dans chacune des facettes de ma personnalité. Je reprends mon pouvoir et je réalise de grandes choses pour moi !

 

Le bas du dos symbolise ma sécurité, mon assurance, ma confiance en la vie !

 

Bref, chaque vertèbre se rapporte à quelque chose. Il y a encore de nombreuses raisons du mal de dos à découvrir …

 

On peut se faire aider en faisant un peu de yoga peut-être pour se détendre ? Parfois des séances d’acupuncture, de kinési, ou réflexologie plantaire peuvent aider.   

 

Un autre maux qui fait souffrir du bas du dos : la sciatique !

 

La sciatique est un pincement du nerf sciatique à sa sortie de la colonne vertébrale, au niveau des lombaires. Elle correspond à la même trame que le lumbago avec cependant une « précision » supplémentaire. Le lumbago est une douleur de « zone » qui parle d’un ressenti global alors que la sciatique est une douleur de trajet qui peut même être ambulatoire, de la colonne vertébrale, le nerf sciatique traverse la fesse, la cuisse et la jambe, et va jusqu’au petit orteil. Souvent c’est une douleur ressentie qui paralyse.

 

La sciatique est un ressenti plus précis qui nous exprime en plus, notre difficulté à évacuer, à abandonner … Si la douleur se manifeste plus dans une jambe que dans l’autre. Signifie que je suis alors inquiet (inquiète) financièrement, car je vis une transformation importante dans ma vie qui me fait vivre une grande insécurité.

Si c’est la jambe droite, c’est peut-être parce que j’ai peur de manquer d’argent, et de ne pas pouvoir faire face à mes responsabilités dans ce qui s’en vient pour moi. Je peux aussi avoir le sentiment de « perdre un appui » surtout si une trahison s’ajoute à cela. Je me sens obligé (e) d’aller dans une direction même si je n’en ai pas envie.

 

Si la douleur se situe dans la jambe gauche, mon manque d’argent peut intensifier mon sentiment de ne pouvoir tout donner sur le plan matériel, aux gens que j’aime. Il y a donc des choses que je voudrais faire mais que je ne peux pas. Je crains que leur amour pour moi en soit affecté. Je m’illusionne, je me crois très spirituel (le) et détaché (e) des biens matériels (sorte d’hypocrisie). Cependant la peur de manquer d’argent me poursuit et me rend très anxieux (se). Je travaille beaucoup, j’ai de grandes responsabilités, et malgré tous mes efforts, j’éprouve quand même certains ennuis financiers. Mon corps se raidit : je me sens coincé (e). Je me sens comme tenu à la gorge, impuissant(e) dans une situation, ayant l’impression qu’une personne a le pouvoir sur cette situation et pas moi. Je me remets sans arrêt en question. Mon insécurité m’amène à me révolter, je voudrais tout arrêter ! J’ai intérêt à me calmer les nerfs (l’expression avoir les nerfs en boule). J’en veux à la vie …

 

Il faut que j’accepte que la source de ma véritable sécurité soit en moi et non dans les biens que je possède. Je dois lâcher prise, et faire confiance à l’univers, car il est abondance pour tous sur tous les plans : physique, mental, et spirituel. En faisant confiance à l’univers, je fais confiance à la vie. Je choisis d’accepter la souplesse et je découvre la vraie richesse, celle que j’ai à l’intérieur de moi. La vraie valeur d’un être se mesure à sa grandeur d’âme. J’accepte mes limites, je prends conscience de mes craintes et je les intègre. Je décide d’avancer dans la vie et je me laisse guider en toute sécurité pour mon plus grand bien.

 

Pour me soulager physiquement, voici également quelques mouvements que je peux faire … 

 

 

 

Bravo pour cette illustration oh combien véridique !

 

 

Environ 10 secondes

 

 

 

 

Position couchée sur le dos, les jambes tendues. Soulever la jambe douloureuse et la croiser au-dessus de l’autre jambe. On devrait sentir un décoincement des muscles lombaires.

 

 

Il est très important de faire les exercices correctement, sinon ils peuvent être inefficaces, et même aggraver le problème. Il est recommandé de faire ces exercices de préférence avec l’aide d’un professionnel comme un physiothérapeute, un chiropracteur ou un naturopathe.

Bien entendu il est recommandé également pour beaucoup de choses de faire régulièrement de la marche ! Eviter la consommation excessive de calories, car l’excès de poids peut aggraver la condition.

 

 

Il y a d’autres remèdes naturels que l’on peut faire comme par exemple : L’infusion de saule qui soulage la sciatique : Faire bouillir un demi-litre d’eau avec un morceau d’écorce de cet arbre médicinal, et laissez le tout, cuire 15 minutes. Retirez ensuite du feu, filtrez bien et buvez-en toutes les 8 heures.

 

Le thym et l’origan : deux excellents alliés qui possèdent des vertus anti-inflammatoires. Il faut rajouter une cuillerée de thym frais dans un litre d’eau contenant une cuillerée d’origan et une autre d’ortie. Ensuite mettez ce mélange sur le feu, et laissez cuire 15 minutes après ébullition. Laissez reposer 5 minutes et en boire deux fois par jour.

 

Pensez aussi à l’application de chaleur sur la zone affectée qui est idéale pour alléger la douleur et réduire l’inflammation ; simplement avec de l’eau chaude et appliquer sur la zone touchée 3 fois par jour.

 

 

Les massages peuvent être d’une grande aide pour combattre les spasmes musculaires qui apparaissent souvent avec les problèmes de sciatique.

 

Pensez aux huiles essentielles de massage BIO comme l’Harpagophytum.

 

Et enfin : même s’il est recommandé de garder le repos en cas d’inflammation grave de la sciatique, certains experts nous mettent en garde contre l’excès d’immobilité qui pourrait aggraver le problème. L’idéal est de reprendre ses activités normales après deux jours de calme, et éviter de porter des charges trop lourdes, ou de réaliser trop de torsions avec son dos pendant plusieurs semaines !

 

 

 

 

 

Eh oui l’excès de poids aussi a des explications …

 

Il y a même de nombreuses causes qui peuvent entraîner un surpoids ! Certains diront, c’est hormonal ! C’est possible … mais bien d’autres facteurs peuvent s’ajouter : C’est aussi souvent le signe de notre insécurité matérielle et affective par rapport à l’avenir proche ou lointain. L’excès de poids signifie aussi que nous avons des difficultés à intégrer des phases de notre vie où nous avons rencontré des manques, des pénuries. C’est un premier type d’insécurité inconsciente, d’une peur souvent non perçue de manquer ! Ces personnes ressentent le besoin de stocker, pour le cas où elles viendraient à manquer, ou pour éviter de manquer à nouveau.

 

Le deuxième type d’insécurité est par rapport au monde extérieur. La peur de devoir l’affronter, de risquer de ne pas y arriver, d’être « démunis » cela amène aussi à stocker. De plus « ça permet de mettre de l’épaisseur entre le monde et nous », de nous protéger. Les « gros » sont d’ailleurs très souvent tendres, et fragiles, et ont un grand besoin d’être « rassurés ».

 

Cela peut aussi être une forme d’ennui qui nous pousse à grignoter … Je ne sais pas quoi faire, je vais manger …

 

On va dire que le dernier type de souffrance qui peut s’exprimer derrière une prise de poids excessive, et le plus grave, car la raison est négative, c’est parfois une tentative de dénigrement vis-à-vis de soi-même ou d’autopunition. On dévalorise notre propre image et de pouvoir ainsi se dire : « Tu vois bien que tu n’es pas bien, pas beau ou belle, qu’on ne peut pas t’aimer. » Nous cherchons par ce biais à enlaidir notre image vis-à-vis de nous-mêmes, mais aussi vis-à-vis des autres.

 

Mais derrière ces 3 niveaux de signification, il y a une trame commune qui est celle de la relation affective à la mère (nourriture) qui n’a pas été équilibrée et que l’on cherche à compenser. Lorsque cette composante devient prépondérante, la dynamique alimentaire, boulimie ou anorexie, devient alors un moyen supplémentaire d’accentuer le message.   

 

La boulimie est le besoin compulsif et parfois non maîtrisable d’avaler de la nourriture. A tel point que les personnes touchées se font vomir pour pouvoir manger de nouveau. Cette forme grave conduit directement à la dépression si elle n’est pas soignée intelligemment et vite. Cette boulimie nous parle du besoin de combler un vide existentiel, de gérer nos angoisses à tout moment par la nourriture.

 

L’anorexie représente le phénomène exactement inverse. La relation d’affect avec la mère et sa représentation nourricière ont été insatisfaisantes. Mère « absente », peu aimante, qui ne désirait pas l’enfant ou bien voulait un garçon au lieu d’une fille, ou une fille au lieu d’un garçon sont autant de mémoires qui dévalorisent parfois le rapport à la nourriture et font qu’elle n’est plus attrayante pour nous ou même pire, qu’elle nous est repoussante. Là aussi l’anorexie peut devenir grave au point d’amener la personne à la dénutrition de son corps.                                              

 

Un thérapeute, un magnétiseur et peut-être d’autres médecines alternatives pourront aider à régler ce problème avant d’en arriver à un stade où la maladie est devenue trop grave, et nous obliger à avoir des soins beaucoup plus importants et longs.

 

Il y a peut-être aussi un travail à faire sur soi-même, à savoir : accepter d’exprimer ses émotions, de reconnaître sa valeur, et toutes nos possibilités. Se dire une bonne fois pour toute : « Je sais maintenant que tout vide que j’ai l’impression  de vivre dans ma vie peut être rempli par de l’amour et des sentiments positifs envers moi-même. Par mon acceptation de moi-même et des autres et avec l’amour dont je m’entoure, je me libère donc de cette peine et de ce besoin de protection. » « Je ne dois plus me rejeter moi-même », « Je ne dois plus me dévaloriser », « Je ne dois plus avoir de difficulté à prendre ma place ! » 

 

Il y a forcément quelqu’un qui vous aime, et qui est prêt à vous aider dans votre entourage familial ou amical. Puis surtout, il faut absolument trouver des activités qui plaisent, et qui nous éloignent de toutes nos pensées négatives.

 

Pourquoi j’ai mal à la tête ?

 

 Encore mille et une raisons, comme pour le dos, d’avoir des maux de tête … On ne pourra pas toutes les voir, mais en voici quelques-unes !

 

Tout d’abord, il y a les maux de tête et les vraies migraines !

Les maux de tête représentent souvent notre difficulté à accepter certaines pensées, idées ou sentiments qui nous gênent, ou nous contraignent : Stress, contrariété, ressassage ou parasitage par des idées indésirables ou des contraintes extérieures qui sont autant de tensions qui se manifestent par des maux de tête ou migraines.

 

Lorsque la migraine suit un trajet de chaque côté de la tête en partant de la nuque pour finir vers les tempes ou les côtés des yeux, quand ce n’est pas directement dans un œil, c’est une migraine qui vient du foie, dite « hépato-

Biliaire ». Elle signifie que la tension est plutôt d’ordre affectif, ou que le vécu de la situation est au niveau affectif que l’être est en cause. Elle est en relation avec le monde familial ou intime.

 

Lorsque les maux de tête sont frontaux, ils expriment souvent un refus de pensées, un entêtement sur les idées actuelles et admises. Ils sont en relation avec le monde professionnel ou social à la demande de ce monde à notre égard.

La tête en général est notre centre de communication, et reliée à notre individualité et notre autonomie. C’est un peu notre « centre de contrôle » c’est par elle que passent toutes nos émotions et toutes nos communications par l’entremise de nos Cinq sens. C’est notre tête qui dirige.

 

Si je vis des difficultés ou des malaises à la tête, je dois me demander si je vis un conflit touchant mes pensées, ma vie spirituelle, ma croissance personnelle ou quelle réalité je ne veux pas aborder. Si le sang qui est dans ma tête ne circule pas bien, ou s’il exerce une pression, cela m’indique que j’ai de la difficulté à exprimer ou à recevoir l’amour et tout sentiment qui m’habite. Mon incapacité ou mon trop grand désir de tout contrôler amène un malaise au niveau de ma tête. Ma tête recevant et exprimant les différents aspects de ma communication ainsi que les sensations et les impressions du corps, qui lui, les manifeste extérieurement.

 

J’accepte d’apprendre à rester ouvert face à mon entourage et j’accepte aussi les messages qui parviennent à mes sens et à travers tout mon corps afin d’assimiler les leçons de la vie qui m’apportent un plus grand éveil.

 

Mais on le sait, il y a encore beaucoup d’autres causes aux maux de tête : la tension, le stress souvent, trop de concentration, les dents, les yeux, une mauvaise nouvelle … C’est  lorsque je m’efforce tant bien que mal d’être d’une certaine façon ou de faire telle chose – le mal de tête peut apparaître également lorsque j’essaie trop fort mentalement d’accomplir quelque chose ou quand je suis obsédé (e) par ce qui s’en vient ou que je suis inquiet (e) de ce qui m’attend dans l’avenir ou les jours à venir. Je vis alors beaucoup d’hésitation, d’anxiété, et de préoccupation. Je peux aussi réagir à de fortes pressions exercées par des situations ou par des événements qui m’entourent.

 

Un mal de tête du côté gauche, montre une problématique face à ma relation avec le féminin : la mère, la fille … Et du côté droit : difficultés face au masculin : le père, le fils … Je peux vivre un sentiment d’échec profond, de doute, de haine de soi qui donne vie à la critique et à l’autocritique.

 

Mon sentiment de loyauté est remis en question. Je n’aime pas ce que je vois me jugeant sévèrement, et me donne moi-même des « coups de tête ».

Le mal de tête peut aussi provenir de la négation, de mes émotions, et de mes pensées que je juge déplacées ou non conformes à mes valeurs, ou je n’ai pas le courage de les exprimer, ou je ne les écoute pas. Je veux peut-être trop comprendre, aller trop vite, savoir ou avoir réponse à mes questions tout de suite. Je me creuse les méninges sans trouver de solution : c’est un vrai casse-tête. J’en ai ras-le-bol. Je dois développer ma patience, mon sens de l’humour et ma confiance.

 

Le mal de tête exprime souvent l’insécurité, le tourment, les ambitions excessives, l’obsession etc. … ce qui provoque une dilatation sanguine. J’aime bien en aire qu’à ma tête. Je refuse ma spontanéité, j’écoute ma tête au lieu d’’écouter mon cœur. Je m’obstine et tiens tête.

Un mal de tête au niveau du front aura plus trait à mon travail ou à mon rôle social. S’il se situe sur le côté près des tempes, c’est mon côté émotionnel (famille, couple) qui est impliqué.

Je dois apprendre à être plus patient (e) et plus flexible envers moi-même et envers les autres. J’accepte de garder une distance face à ce que je vis, et mes idées sont ainsi plus claires. J’apprends à redonner la place qui revient aussi bien à mon intellect qu’à mes émotions afin d’atteindre l’équilibre qui me manque. Je serai alors plus en harmonie avec moi-même, je me sentirai la tête plus dégagée et plus légère.

 

 

La migraine se caractérise par une douleur intense qui affecte en général qu’un seul côté de la tête. Elle survient sous forme de crise et s’accompagne de nausée.

Ma force vitale est réduite. J’ai tendance à me retirer dans mon coin au lieu de participer pleinement à la vie.


Les migraines peuvent être associées à des troubles de vision et de digestion ; je ne veux plus voir et je ne veux plus digérer ce qui se passe dans ma vie. Ce sont des angoisses, de la frustration face à une situation où je suis incapable de prendre une décision.

 

Elles apparaissent aussi très souvent après une contrariété. Un changement dans mon rythme de vie impliquant une difficulté d’adaptation de ma part. Ma tête me fait mal juste à l’idée du but à atteindre qui me semble inaccessible. Et bien d’autres raisons encore que vous trouverez dans le grand dictionnaire des malaises et des maladies.

 

Il faut que j’accepte de regarder la réalité en face. Laisser les événements circuler librement dans ma vie, et je reçois en retour la joie, la paix, l’harmonie. Puis en étant plus flexible et compréhensif (ve) envers moi-même, je me sens plus léger (légère) et je peux m’envoler ….

 

 

Une forte tension provoque aussi des maux de tête

 

Les maux de tête peuvent être provoqués par une tension artérielle ou hypertension trop élevée !

L’image d’une personne souffrant d’hypertension est une cocotte-minute ! C’est cette personne qui accumule durant de longues périodes, des pensées et des émotions qui ne sont pas exprimées ! Je suis hypersensible et je me contrôle mal. Mes colères et mes contrariétés pour lesquelles je n’ai pas encore trouvé la solution sont ravalées, faisant ainsi bouillir mon intérieur. Je suis confus (e). Je peux aussi avoir tendance à la procrastination, remettre à plus tard les choses que j’ai à dire ou à faire, par peur ou par manque de confiance en moi, et j’en viens à vivre une tension nerveuse intense, car je vois tout cela comme une montagne, et je ne sais pas si je serai capable d’accomplir tous mes projets.

 

Je peux aussi affabuler, amplifier mes problèmes et ma culpabilité aura tôt fait d’augmenter la pression ! Mon désir de vouloir tout contrôler et résoudre les situations de ma vie fait augmenter ma pression qui peut devenir insoutenable. Je me sens impuissant (e), souvent parce que je ne peux plus ou ne veux plus obéir aux ordres, notamment dans mon travail.

Vivre dans la peur profonde d’être rejeté (e), de se sentir en danger, et rester sur ses gardes. Je me sens écrasé (e), sans défense. Je vis une tension intense ! J’ai intérêt à diminuer mon niveau de stress. J’ai de la difficulté à sentir et à recevoir l’amour des autres. Je me suis fermé(e) à cet amour pour ne plus souffrir. Je ne veux plus alors ni en donner, ni en recevoir.

L’hypertension que je vis peut aussi trouver sa source dans ma peur de la mort, celle-ci étant consciente ou non ? Je me pose des tas de questions … je veux réaliser les nombreux buts que je me suis fixés. Est-ce que je me mets la pression moi-même, ou est-ce qu’elle provient des autres ? Toute cette tension peut me provoquer des maux de tête !

 

Je dois accepter d’apprendre à laisser sortir la vapeur tout doucement, et à prendre conscience de la pression que je mets en moi. J’évite l’accumulation qui provoque l’explosion. J’apprends à me faire confiance. J’accepte de ne plus avoir besoin de cette pression pour me sentir en vie. En fait, je dois m’accepter tel(le) que je suis. Chacun d’entre nous est un être unique.  

 

 

Pourquoi je souffre de l’estomac ?

 

C’est l’organe qui reçoit en premier par l’œsophage, les aliments bruts qui viennent simplement d’être préparés par le masticage de la bouche. Il est donc en quelque sorte chargé du gros œuvre, et joue un peu le rôle de « bétonnière ».

Il malaxe, il mélange, mais aussi dissout grâce à l’acide chlorhydrique les aliments ingérés. Les maux d’estomac nous parlent de nos difficultés ou des tensions que nous rencontrons dans notre maîtrise ou notre gestion du monde matériel : contrariétés financières, professionnelles, scolaires ou judiciaires s’exprimeront ainsi. Elles provoquent chez nous des soucis réels. L’estomac qui nous fait souffrir peut aussi signifier que nous avons tendance à ruminer, à ressasser les choses, et les événements d’une façon excessive. L’acidité gastrique peut alors nous dire d’arrêter.

Les multiples cas d’ulcères sont souvent le fait de contrariétés, et provoquent des brûlures, aigreurs, ou acidité gastrique, ulcère ou cancer … autant de manifestations dont l’intensité est progressive et expriment cette difficulté à digérer ce que nous vivons : les chocs de la vie ou les situations qui ne nous satisfont pas. Les vomissements s’il y a : sont alors le signe supplémentaire du rejet pur et simple.

 

Dans le grand dictionnaire on nous explique que : Les problèmes d’estomac surviennent lorsque « ma » réalité quotidienne est en conflit avec mes désirs et mes besoins. Je vis des angoisses permanentes. Certaines choses me restent sur l’estomac … Ma digestion, tant au niveau de mes pensées que de mes émotions, se fait difficilement parce que j’ai tendance à rester accroché (e) au passé, et j’ai des difficultés à me pardonner moi-même et aux autres. Si j’ai des crampes d’estomac : je me demande face à quelle situation de ma vie, je vis une immense insécurité. Je me sens perdu (e), et je me résigne pensant que cette situation est sans issus. Les tiraillements dans l’estomac sont souvent liés à un besoin d’amour, de nourritures émotionnelles et d’aliments. La nourriture représente l’affection, la sécurité, la récompense et la survie. Si je vis un vide quelconque dans ma vie, particulièrement dans les moments difficiles : séparation, mort, perte d’emploi ou pénurie d’argent … je le comble avec de la nourriture.

La fermentation pour sa part, provient du fait que je ne veux pas faire face à certaines émotions. Je mets mes émotions de côté, mais elles sont toujours là, s’accumulent, « fermentent » sous l’effet de mon attitude « acide ». Je ressasse sans cesse certaines situations que j’ai vécues, et que je ne digère pas. J’ai donc tendance à « ruminer » des situations passées et à vivre les mêmes  émotions négatives. J’évite ainsi des conflits, je n’exprime pas mes contrariétés, je suis irritée. La colère et l’agressivité grondent en moi, je les refoule, et v’lan ! Voilà les ennuis d’estomac : les brûlures et les ulcères qui surviennent ! C’est peut-être la situation de ma vie « que je ne digère pas » ? Je vis beaucoup d’inquiétudes dues notamment à ma faible confiance en moi, je me sens incomprise, ce qui rend difficile l’acceptation de mes émotions. Certaines situations pèsent tellement, que l’estomac refuse de les digérer.  Le fait de ravaler ou de refouler une émotion, une colère, un chagrin, de la rage augmente l’acidité des gaz gastriques, et du même coup, m’empêche d’avaler n’importe quoi d’autre, car les brûlures manifestent une forme intérieure dans la région de l’estomac.

 

Je dois accepter de voir les liens entre mes vrais sentiments et les brûlures d’estomac. Je dois rester calme et observer ma façon d’être, mes réactions par rapport aux situations que je vis, ainsi que mon attitude face aux événements quotidiens. Je dois centrer mon attention sur ma conviction que la vie est bonne et que mes besoins sont tous comblés au moment opportun, mon estime personnelle augmente et mes prochaines colères seront moins intenses. Je prends le temps d’apprécier chaque moment de ma vie et mon estomac ne s’en portera que mieux.

 

Quelques mots sur la gastrite :

 

La gastrite est une inflammation aiguë ou chronique de la muqueuse de l’estomac, ce lieu où commence le processus de digestion.

 

S’il y a inflammation, il y a irritation et colère par rapport à quelque chose ou quelqu’un que je ne digère pas. Je ne comprends pas que certaines choses ne passent pas comme je voudrais ou que certaines personnes n’agissent pas comme je le désire. Je peux avoir le sentiment d’avoir été trompé (e), d’être pris (ou prise) dans une situation ou trahi par le silence d’une personne. Je suis irrité (e) par quelque chose que mon système digestif a absorbé et la réalité « digérée » me dérange au plus haut point. Je vis dans l’insécurité et je me demande ce qui m’attend. J’ai l’impression que mon monde peut s’écrouler à tout moment. Je suis comme un chien de garde qui est constamment à l’affût du danger.

Je dois apprendre à accepter les situations et les autres tels qu’ils sont, sachant que j’ai uniquement le pouvoir sur moi-même. Je change mes attentes en positif : j’attends que ce qu’il y a de mieux de la vie. Je cesse de me tracasser et j’apprends à jouir de chaque moment de ma vie.   

Pourquoi je souffre du foie ?

 

 

Le foie joue un rôle essentiel dans la digestion par la sécrétion de la bile, mais il ne fait pas que ça ! Il assure aussi une autre activité très importante : le filtrage du sang. Il participe ainsi à la composition du sang et à sa qualité, tant au niveau nutritif qu’au niveau immunitaire.

Mais bien entendu, les problèmes hépatiques sont aussi le signe qu’il nous est difficile de « digérer » quelque chose dans notre vie. Une contrariété peut déclencher une crise de foie ! Mais l’émotion principale associée au foie est la colère. Cependant à l’inverse, des colères trop souvent rentrées ou gardées à l’intérieur vont densifier l’énergie dans le foie et risquer de se traduire par des pathologies plus importantes. Les maux du foie peuvent nous parler aussi de notre difficulté à vivre ou à accepter nos sentiments, nos affects ou ceux que les autres nous renvoient. Les maux de foie proviennent de notre propre attitude ! Nos frustrations accumulées, nos haines, nos jalousies, nos agressivités contenues sont autant de facteurs déclencheurs de problèmes de foie. Ces sentiments camouflent une ou plusieurs peurs qui ne peuvent être exprimées autrement.

Je vis beaucoup de mécontentements. Je résiste à quelqu’un ou à quelque chose en permanence. Je manque de joie de vivre, de simplicités. Je pourrai développer un cancer du foie si toutes les émotions qui me sont néfastes me « rongent » depuis un bon moment. Il arrive souvent que ce cancer résulte d’un conflit par rapport à la famille, ou à l’argent, spécialement quand j’ai peur de manquer de quelque chose. Je me pose des questions : ai-je encore la « foi » d’être heureux (se) ? Ma vie est-elle dépourvue de sens ? Qu’est-ce qui est bon pour moi, et qu’est-ce que je devrais éliminer de ma vie ? Quelles sont mes possibilités, mes limites ?

La liste des maux de foie, comme chaque partie de notre corps qui nous fait souffrir est longue, je ne donne que quelques extraits des ouvrages cités plus haut. Pour le foie, ça va de la banale indigestion, en passant par un abcès, une hépatite, à la boisson, au cancer ou à la cirrhose du foie etc. … les causes peuvent être nombreuses.

Alors il est temps maintenant que je prenne conscience que je dois m’accepter comme je suis et apprendre à m’aimer d’avantage. Etre capable d’amour, et de compréhension envers moi ouvre la voie à l’amour des autres. Ainsi je retrouverai la joie de vivre. J’accepte de prendre une nouvelle direction dans ma vie ou la joie et le positif seront ma raison d’être. Je reconnais mes désirs, j’apprends à me respecter et se sont ces nouvelles énergies positives qui vont faire partir le malaise que je vis.

 

Quelques mots sur la vésicule biliaire :   Elle travaille en liaison directe avec le foie, dont elle recueille et concentre la bile. Elle la redistribue dans l’intestin grêle, juste à la sortie de l’estomac. La libération de cette bile va permettre au processus de digestion, notamment des aliments gras, de continuer de façon harmonieuse. En cas de dysfonctionnement, la digestion est perçue comme « mauvaise ». De ce fait, elle joue un rôle équivalent dans la digestion psychologique des événements. D’où le langage commun que nous connaissons tous, « on se fait de la bile » lorsqu’on a des inquiétudes. Les maux de la vésicule biliaire nous parlent de notre difficulté à gérer nos sentiments et à les clarifier. 

La bile symbolise l’élimination d’émotions et d’expériences négatives. Elle représente le pouvoir d’assimiler et de digérer nos émotions afin de nous épanouir pleinement. Si ma vésicule biliaire ne fonctionne pas bien, cela peut découler de mon insécurité ou de mes inquiétudes.

Je dois accepter de me libérer de ces sentiments amers, irritants. Je dois considérer chaque expérience que je vis, comme une occasion de mieux me connaître et d’utiliser ma sensibilité de façon positive et créatrice au lieu de contrôler ou manipuler les autres. C’est seulement dans l’expression de mes sentiments intérieurs et dans le laisser-aller des expériences passées qui m’ont marqué que je peux me libérer et vivre en paix !

 

 

Quelques mots sur les inflammations :

 

Une inflammation est une réaction locale de l’organisme qui se défend contre un agent pathogène (qui entraîne la maladie) et caractérisée par la rougeur, la chaleur, la douleur et la tuméfaction (enflure, gonflement). C’est l’expression corporelle d’une inflammation intérieure. Je suis enflammé (e), et enragé (e) par quelque chose ou quelqu’un : la plupart du temps, c’est le feu du foie ou de la vésicule biliaire qui est en excès et cela s’exprime par mon corps. Je dois me demander quel aspect de ma vie me rend « rouge de colère », et qui m’amènera ultérieurement à vivre de la culpabilité, si celle-ci n’est pas déjà la cause de l’inflammation. Il est important de regarder quelle partie du corps est affectée afin d’avoir une information additionnelle sur la cause de l’inflammation. Je me sens coincé (e), limité (e). Ma vie est rigide, trop structurée. L’inflammation me donne une indication que je vis une situation dans ma vie à laquelle je ne veux pas renoncer. Je résiste au changement, je lutte avec la colère. Ce dont j’avais besoin avant pour me supporter et m’aider à avancer n’a peut-être plus besoin d’être. La contradiction que je vis m’enflamme. Cela m’irrite, et je deviens exaspéré (e). Il est important d’aller vérifier aussi si une difficulté sexuelle a été vécue dans le passé, refoulée et non résolue, ou si j’ai vécu un sentiment de perte que je n’ai pas accepté, et envers lequel je vis beaucoup d’irritabilité. Il me sera alors possible de prendre conscience de cette situation et d’en avoir une compréhension nouvelle. Je me questionne par rapport à mes croyances et je me demande si je vis un conflit intérieur aigu face à qui je suis contre les autres personnes qui m’entourent.

Je dois donc accepter d’être différent (e) et d’exprimer mes opinions, même si elles peuvent être différentes des autres. J’affirme qui je suis et mon unicité. J’apprends à me faire confiance et à vivre de façon spontanée.

 

Avant de conclure cette rubrique, je peux aussi vous recommander un autre livre un peu différent, mais qui a attrait aussi à la santé. C’est un ouvrage du professeur Didier Raoult : « Votre santé » tous les mensonges qu’on vous raconte, et comment la science vous aide à y voir plus clair. Aux éditions Michel Lafon.

 

 

Didier Raoult, professeur de microbiologie à la faculté de Marseille, dirige le plus grand centre consacré aux maladies infectieuses, l’IHU Méditerranée Infection. Il est le troisième microbiologiste le plus cité du monde.

 

Ce livre a pour but de vous aider à faire le tri entre les peurs infondées et les risques établis, entre les remèdes fantaisistes et les thérapies efficaces, sans vous laisser influencer ni par les prophètes de malheur, ni par le marketing, ni par les charlatans.

 

Non, les brocolis ne protègent pas du cancer et le lait n’évite pas l’ostéoporose ! En matière de santé, nous sommes bombardés de fausses informations. On nous annonce des épidémies qui n’ont pas lieu mais on ne nous alerte pas assez sur les vrais tueurs de notre siècle. On nous met en garde contre la cigarette électronique qui ne sera jamais aussi nocive que le tabac, contre des vaccins salvateurs qu’on accuse à tort de mille maux, contre les antibiotiques dont il ne faut certes pas abuser mais qui sont indispensables quand une grippe perdure au-delà de trois jours par exemple. Les lobbys pharmaceutiques nous conseillent de nouveaux médicaments dont le seul mérite est d’être plus chers que les anciens, et les chaînes alimentaires font une pub d’enfer pour leurs « alicaments » dont les bienfaits restent à prouver, quand ils ne se révèlent pas dangereux.

 

Le Professeur Didier Raoult en première partie de son livre on peut lire la hantise des responsables politiques – Méfiez-vous des rumeurs et des idées reçues. Je cite quelques-uns de ses passages, mais je vous conseille de le lire : Notre Société vit une époque anxiogène. Des nouvelles terrifiantes nous parviennent du monde entier, mettant notre cerveau en alerte permanente. Comme de nombreuses espèces animales, nous sommes très sensibles au danger, mais nous n’étions pas préparés à un tel environnement mondialisé où les risques semblent démultipliés, et omniprésents. Ce n’est pas sain pour notre mental. Il faudrait pouvoir se débrancher de l’actualité de temps en temps pour éviter de tomber dans le pessimisme ambiant.

 

Les prophètes de malheur nous annonce régulièrement l’Apocalypse, tout comme les mathématiciens qui prédisent des millions de morts chaque début d’épidémie …

Les médias font leur beurre avec les mauvaise nouvelles amplifient les rumeurs … De leur côté les politiques ont peur de faire des faux pas et appliquent le principe de précaution à outrance :

La grippe aviaire par exemple qui a mis notre pays au bord de la crise de nerfs pour une maladie jamais transmise à l’homme.

Un peu avant : la vache folle alors que le nombre de victimes est resté très faible.

 

La grippe aviaire H5N1 a entraîné une psychose dans le monde entier. Tout le monde craignait l’apparition d’une nouvelle pandémie mondiale qui tuerait des millions de personnes, à l’instar de la grippe espagnole au début du XXème siècle … alors que la maladie n’a jamais été transmissible chez l’homme.

 

Plus tard le délire s’est répété avec la gestion aberrante de la grippe H1N1 associée à des dépenses colossales et des millions de doses de vaccins, encore une fois pour rien. Il faudrait cesser de vouloir tout comprendre et tout prédire … Même pour des choses simples comme la grippe hivernale, les scientifiques sont incapables de connaître à l’avance la nature de chaque épidémie.

 

Tous les trente ou quarante ans, une nouvelle maladie humaine apparaît de façon totalement imprévisible. Personne n’avait prévu les épidémies de sida et d’hépatite C, ni de l’ampleur qu’elles ont prise. Le virus de l’hépatite C est l’un des plus meurtriers aujourd’hui, tuant par cirrhose et cancer du foie. Il s’est répandu à une vitesse foudroyante, principalement transmis par les injections intraveineuses ou intramusculaires. Les modèles prédictifs sont complètement  inefficaces. Parfois ils prévoient une chose et il se passe autre chose. Tous ont peur de ne pas prendre les mesures nécessaires au principe de précaution.

 

Les choses ne se prévoient pas, parce que le monde est en mouvement permanent, et que tout change autour.

 

L’épidémie d’Ebola qui a sévit en Afrique de l’Ouest depuis le début de l’année 2014 est la plus grave et la plus meurtrière depuis l’apparition de ce virus il y a près de quarante ans en République démocratique du Congo. En Janvier 2015, elle avait déjà fait plus de 20 000 victimes dont près de 9 000 morts, principalement en Sierra Leone, au Libéria et en Guinée. Une alerte a été lancée à l’échelle internationale, les pays du Nord s’inquiétant de la propagation du virus de l’intérieur de leurs frontières. En Septembre 2014, le président des Etats-Unis, Barak Obama, a prononcé un discours alarmiste à la tribune de l’ONU, appelant la communauté internationale à agir vite pour contrer cette épidémie qui pourrait faire des centaines de milliers de victimes.

Encore une fois des modélisations ont été publiées, se targuant de prédire l’évolution de l’épidémie. Pourtant personne n’avait prévu la régression apparente de la maladie au début de 2015, notamment au Libéria et en Guinée, suivie d’un nouveau sursaut quelques semaines après. Les personnels soignant sur place ont bien compris que le meilleur moyen d’éviter les contagions était d’utiliser de l’alcool et de l’eau de Javel, notamment pour se désinfecter les mains, car ils ont eu relativement peu de cas de contaminations secondaires.

Pour les habitants, le risque d’infection est le plus élevé lors des rites funéraires, car les dépouilles des défunts sont des réservoirs de virus.

 

Bref, je ne vais pas ici re transcrire tout le livre, mais je vous conseille de le lire. Beaucoup d’exemples nous font voir les choses autrement, et parfois on constate que de simples gestes de précaution pourraient suffirent à nous épargner d’une maladie.

 

Comme la maladie de la vache folle :

C’est l’arbre qui cache la forêt des dérives agroalimentaires. Il suffirait de redoubler d’attention pour nourrir les animaux, ne plus leur donner n’importe quoi pour éviter ce genre de maladie.

 

Comme pour éviter la grippe : on l’a vu à la télévision sur toutes les chaînes, il suffit de prendre juste une petite précaution qui peut éviter la contagion.

Se laver les mains très souvent à l’eau chaude. Eternuer, et se moucher dans un mouchoir à jeter que l’on met de suite à la poubelle et on se lave les mains. Répéter ce geste à chaque fois que nécessaire. Ainsi, les microbes ne se répandront pas dans toute la pièce. L’hygiène est très importante pour éviter un maximum de contaminations. Nettoyer, et désinfecter le plus possible la maison est très important. Aérer les chambres tous les jours, par tous les temps, au moins un quart d’heure etc. … etc. … Il faut rester vigilant à tout, mais inutile d’affoler les populations. Des simples conseils sont tout aussi importants pour éviter nombre d’épidémies. Faire attention à la nourriture en sachant que la mal bouffe est mauvais pour notre santé. Dans la « bouffe » industrielle par exemple : on ne sait plus ce qu’on mange !

 

Quand la terreur prend le dessus sur la raison ! Il y a une déconnexion entre la terreur et la réalité qui entraîne des réactions disproportionnées par rapport au risque réel.

 

Tout comme la règlementation sur le tabagisme passif est une autre illustration d’un abus du principe de précaution. Cela découle aussi d’un usage exagéré de la notion du seuil. Tout comme l’amiante, il est difficile d’affirmer à partir de quel niveau d’exposition au  tabac (nombre de cigarettes consommées sur combien d’années) le risque de cancer du poumon devient significatif. Cela varie en faction des individus, tous n’ayant pas le même patrimoine génétique ni le même environnement.

C’est à partir de ce constat que la notion de tabagisme passif -  le fait qu’un non-fumeur inhale à son insu de la fumée de cigarette contenant des agents cancérigènes – a vu le jour. Toutefois il est excessif de comparer le risque de tabagisme passif induit par un fumeur sur une terrasse de café à celui, bien plus important, causé par un proche s’il fume tous les jours dans une pièce commune.

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