LES GRANDES ENIGMES DE NOTRE MONDE

 

 

L’Ile de Pâques située au cœur du Pacifique :

 

 

Est un petit rocher isolé (à droite du triangle) de 24 x 16 km,  à 3747 km de la côte Sud Américaine, et à 4500 km de Tahiti.  Elle serait née de forces naturelles, c’est une île volcanique : en effet, on y trouve des cratères, des champs de lave, des grottes et des galeries souterraines. Ses habitants (peu nombreux) s’appellent les Pascuans qui il y a très longtemps se sont efforcés d’y développer une culture hors du commun, et elle possède une architecture que l’on ne retrouve nulle part ailleurs, quoique personnellement j’ai vu un site extraordinaire en Turquie de l’Est en haut d’une montagne : un certain nombre de statues qui rappelaient étrangement celles de Pâques. J’en parlerai après. Aujourd’hui, L’Ile de Pâques est pratiquement désertique, mais garde en elle ces étranges souvenirs de son époque : ces énormes statues de pierres.

 

 

On parle d’environ 600 statues géantes.  Toutes les statues ont le regard tourné vers l’intérieur de l’Ile, elles tournent le dos à l’océan, certaines sont surmontées d’un couvre chef rouge.

 

 

Cinquante ans après : James Cook (grand navigateur) essaya de percer ce secret. Il apprit que les indigènes se reconnaissaient comme des descendants des auteurs des grandes statues, réalisées 22 générations plus tôt !

 

L’Ile de Pâques que le mystère a transformée en un haut lieu du mythe, un lieu ou l’histoire et la légende se confondent sans cesse. C’est un amiral hollandais « Jacob Roggeveen » qui débarqua sur l’île un samedi saint en 1722. D’où son nom actuel, alors qu’elle s’appelait RAPA NUI (Grand Rocher) ou encore TE PITO OTE HENU’A (nombril du monde)

 

Ce petit bout de terre peuplé de descendants de Maoris, recèle toujours de nombreuses énigmes que tentent toujours de trouver des chercheurs. Dans un passé lointain, il y aurait eu une végétation extraordinaire des palmiers géants, des hibiscus, des acacias … Ce qui pouvait sans doute permettre de déplacer ses gigantesques statues, mais le mystère ne semble pas encore avoir été découvert complètement.

 

 

L'île de Pâques est un lieu mystique, ou parait-il résonnent  de bonnes vibrations ?

Selon la tradition locale, quelques courageux Maoris guidés par le roi Hotu Matu ‘a avaient atteint l’île après avoir voyagé en direction du « Soleil levant »

 

 

Ils avaient empoté avec eux de nombreuses espèces d’animaux, mais après un long voyage en pirogue (presque 4000 km) beaucoup moururent pendant le voyage, seuls des poules et des rats survécurent. Puis ils ont réussi à sauver quelques arbres de leur terre d’origine : dont la canne à sucre et les bananes qui se répandirent vite sur l'île.

 

  

 

 Leurs premiers abris furent des barques renversées, trouvaille adoptée comme modèle architectural par les générations futures : pendant longtemps les habitations seront en effet construites en forme d'embarcation.

Les archéologues affirment que les gigantesques statues ont été réalisées à partir du Vème siècle.

Un travail de grande maîtrise qui allait se perpétuer pendant un long moment.

 

Vers le XVème siècle  le culte des oiseaux s’affirma dans l’île : le culte de la divinité Makemake (homme oiseau) représenté sur de nombreuses gravures rupestres et à travers les statues. Le mystère des habitants de Rapa Nui reste encore de nos jours irrésolu.

 

 

 

Orongo

 

Le Site d'Orango est sur la crête du cratère Rano Kao qui surplombe la falaise. Ses maison sont en forme de pirogues faites de pierres.

 

 

La petite île de Motu Nui

 

Tous les ans, les indigènes se disputaient dans une compétition ; la possession du 1er œuf pondu par la perdrix noire  sur l’île de Motu Nui. D’après la légende de cet œuf, objet fondamental des rites, déchaînait des passions violentes. Il était l’incarnation du Dieu Makemake. Celui qui sortait vainqueur, gagnait la faveur des Dieux et la reconnaissance du pouvoir politique.  

 

On pense que la réalisation des statues était liée au culte des ancêtres, et que si leurs visages étaient dirigés vers les maisons et les champs, c’était le côté du clan qui les avait construite.

Néanmoins, les scientifiques pensent aujourd’hui que la réalisation de ces énormes sculptures (les Moaïs) pourrait être relié à la disparition de continents ou à l’arrivée de visiteurs extra terrestres ? Ca peut faire sourire …

Quelques unes de ces interprétations ont été suggérées par l’aspect bizarre des Maoïs, notamment par leurs grandes oreilles qui indiqueraient que les sujets représentés appartenaient à une civilisation très différente de la civilisation polynésienne.

 

 

Vers le XVème siècle, l’île est bouleversée par une grande guerre interne, probablement causée par l’arrivée de nouvelles populations. De plus, suite à la destruction incontrôlée des arbres, la végétation commence à se faire rare. Et la terre devient de plus en plus aride. Ainsi peu à peu, la mort et la désolation règnent sur l’île de Pâques.

 

Mais ces statues n'ont pas fini de nous surprendre car ...

 

 Vers la moitié du 19ème siècle  l’île n’était plus peuplée que par quelques centaines de personnes.

 

 Vous aurez certainement plaisir à apprendre que : les statues de l'Ile de Pâques, déjà mystérieuses, amènent à se poser de nouvelles questions car elles possèdent un corps qui est dissimulé dans le sol.

 

 

La nouvelle de la découverte pour certains ne date pas d'hier, pour les autres il faut savoir que sur Internet, depuis quelque temps il circule que les statues de l'Ile de Pâques ont un corps. Alors qu'elles sont connues pour n'avoir qu'une grosse tête ! Ces statues recèlent visiblement de nombreux secrets, puisque plus de la moitié de leur taille est enfouie sous terre et révèle l'existence d'un corps et de mains.

 

 

 

Si l'on attribue au couple Routledge la découverte des parties enterrées des statues de l'ile de Pâques, un groupe de recherches privé, a récemment excavé une des statues pour y découvrir de nombreuses écritures sur le corps.

Située dans l'océan Pacifique, cette ile volcanique a été découverte par le navigateur néerlandais Jakob Roggeveen, le jour de Pâques de l'an 1722. Elle est devenue ensuite possession chilienne en 1888.

 

 

Si de nombreux mystères entourent l'île de Pâques, la découverte de ces écritures enfouies sous terre risquent de relancer de nombreux débats. En effet, si les scientifiques sont presque tous d'accord pour dire que c'est à la suite d'un écocide (destruction systématique d'un milieu naturel, de la flore, de la faune) que la population (environ 4000) de l'ile a disparu, qu'en est-il de ces géants de pierre enfouis sous terre ?

 

 

L'ont-ils été dès le départ par les Rapanui (premières civilisations de l'île) ou bien le temps a-t-il eu raison de ceux-ci ?

L'hypothèse la plus vraisemblable est qu'un raz-de-marée a balayé l'île et sa civilisation ancienne, qui se perd dans la nuit des temps et là, sous nos pieds de touristes inconscients du trésor caché nous attend. Les statues n'auraient pas été enterrées, mais le déluge a dû transporter et amener tant de débris, de poussières et de terre que la civilisation a disparu, comme effacée d'un seul coup.

On pense ici au mythe de l'Atlantide et du continent de Mu dont les

légendes refont surface avec cette découverte exceptionnelle.

 

 

 

C’est l’un des mystères les plus fascinants de la planète !

                                      

 

 

LE NEMRUT DAG

 

Site EXCEPTIONNEL qui se trouve en Turquie.  Le sanctuaire du Mont Nemrut. Il rappelle un peu les statues géantes de l’Ile de Pâques, c’est époustouflant de sensation et de beauté ! A 2150 m d’altitude. J'ai eu la chance (moi Monique, Momo pour le site) d'y aller et de prendre des photos. Je vous raconte ... D'abord une carte de la Turquie, pour vous situer ce lieu, et avoir une idée du tour que nous en avons fait, en frôlant les frontières ! Je crois que ce circuit ne se fait plus, étant considéré comme devenu trop dangereux, alors nous avons eu de la chance cette année là. Mais revenons à notre Nemrut Dag :

 

 

Il nous faut d’abord prendre un petit sentier pendant un certain temps, environ 3/4 d'heure, peut-être un peu plus, peut-être un peu moins, je ne me souviens plus exactement, mais c'est un dur à grimper, surtout lorsque le sentier s’arrête, car alors  il faut continuer à pied à travers la montagne abrupte pendant encore une bonne vingtaine de minutes (photo d'une partie du groupe ci-dessous).

 

(Cette photo n'est pas très nette car je ne possédais pas d'appareil numérique à l'époque !)

 

Mais une fois au sommet, la c’est le choc visuel et émotionnel !

 

Le Nemrut Dag (Mont Nemrut) est une montagne à proximité des Monts Ankar en Anatolie, à une soixantaine de kilomètres de Malatya, au Sud-est de la Turquie. Au sommet du Nemrut Dag, le Roi Antiochus Theo Ier de Commagène bâtit son mausolée entouré de grandes statues (8-9 mètres de haut) à son effigie, ainsi que divers dieux grecs et perses. La tombe contient des sculptures de dieux, telle par exemple une tête d'aigle. La tombe fut dégagée en 1881 par Karl Sester, un ingénieur allemand. D’autres fouilles ne permirent pas de progresser davantage.

Le sommet du Nemrut est une sorte de Panthéon des divinités vénérées par les Commagènes. Sur un podium, des sculptures qui représentent un aigle et un lion montent la garde à des sculptures gigantesques.

 

 

 

(Je regrette, car mes photos ne sont pas très nettes, je les ai scannées d'après des tirages sur papier)

 

Ce site après sa découverte en 1881 fut laisser aux oubliettes … Ce n’est qu’en 1953 qu’il fut tiré de l’oubli.

 

 

Mes photos n'étant pas de bonne qualité, je vais en ajouter quelques unes prises sur Internet ...

 

Les tentatives pour percer le secret de cette pyramide de pierres concassées sont depuis restées vaines. Malgré les moyens d’investigation modernes, il n’a pas été possible de repérer la chambre funéraire, ni l’entrée du corridor qui y mène. Le tumulus d’Antiochos reste à ce jour inviolé.

 

Il n’en reste pas moins que pour la beauté du paysage ce site reste à visiter avec beaucoup d’intérêt. Si vous allez en Turquie, faite ce détour, vous ne serez pas déçus !  (Ci-dessous vue du haut du Mont)

 

 

Ci-dessous : quelques photos prises au hasard sur Internet

  

 

 

  

L'ATLANTIDE

 

 

 

AUTRE ENIGME, SOURCE DE DISCUSSIONS...

 

Ile légendaire engloutie sous les eaux, l'Atlantide fait partie des grands mystères de l'Histoire. Vraie cité disparue ou fiction de Platon ? Si elle existe, où se cache-t-elle ? En Afrique, dans les Andes ou au milieu de l'Océan Indien? L'Atlantide fait l'objet, depuis l'Antiquité, des spéculations les plus diverses.

 

Là, le mystère est aussi très grand d’autant que les savants ou autres passionnés chercheurs ou amateurs de mystères ne sont pas d’accord sur le véritable endroit de l’Atlantide, vu les caprices de la terre, les profondeurs des mers qui ont envahit diverses îles à tout jamais disparues, dont une serait l’Atlantide ? Il y a les sceptiques bien sûr … mais aussi, et surtout ceux qui croient à l’authenticité des phénomènes naturels ou mystérieux, comme le triangle des Bermudes, et pourquoi pas l’Atlantide ? Ces évènements inexpliqués sont provoqués par la présence de vestiges singuliers dans la mer de Bimini (dans les Bermudes) qui proviendraient de la mythique Atlantide ? Selon cette théorie, le phénomène est lié aux structures mégalithiques submergées (gros blocs de pierres) placés pour certains à 6 mètres environ de profondeur.

 

 

Sur une surface de 600 mètres, ce qui a permis de les identifier, situées entre l’archipel des Caraïbes et le cône de la Floride.

 

 

Mais tous les passionnés n’expriment pas la même opinion. Pour certains, ces blocs de pierre seraient réalisés pour certains, de structures réalisées par l’homme ? Les archéologues affirment qu’il s’agit de structures naturelles, formées à la suite de bouleversements géologiques causés par des séismes ou raz de marée.

D’autres racontèrent que ce royaume extraordinaire se situait en Grèce ? Toutefois, rien ne permet d’affirmer cette hypothèse suggérant que l’Atlantide se trouvait dans l’archipel volcanique de Santorin (ci-dessous) dans la mer Egée.

 

 

En effet, qui n’a pas entendu parler du mystère de Santorin ? Platon voyait déjà dans ce merveilleux joyau des Cyclades un vestige de l’Atlantide.

 

On apprend aussi sur certains articles que cette terre comprenait deux continents entourés d’un seul océan, et que l’Atlantide serait située en face du détroit de Gibraltar ?

 

 

A gauche : l’Espagne, à droite : le Maroc.

 

Quoi qu’il en soit, on peut supposer que ce continent était formé d’un archipel, et que l’une de ses îles était le siège de la capitale l’empire, grande citée protégée par des remparts et entourée de canaux. D’après les récits, la nature aurait été généreuse avec l’Atlantide : des eaux fraîches et pures jaillissaient à plusieurs endroits de l’Ile, riche aussi en fruits, animaux, et bois. On dit aussi que sur l’île poussait un fruit étrange, très bon, et utilisé comme remède contre toutes les maladies.

C'était une terre magnifique, occupée par un peuple de fiers marins qui semblait disposer de techniques avancées et des secrets de l'architecture monumentale, dont la capitale était un véritable joyau. Mais la perfection de ce royaume n'allait pas connaître la pérennité. Les habitants étaient heureux, ils vivaient en paix et les rapports humains étaient loyaux.

 

Selon une légende : cette merveilleuse harmonie fut détruite lorsque les « Dieux atlantes » entrèrent en contact avec les habitants d’autres terres. La disparition de l’île fut selon Platon (philosophe Grec né en 427 avant J.C., décédé en 348 avant J.C.)

 

 

Platon

déterminée par la colère de Zeus.

 

 provoquant un tremblement de terre terrifiant, et des pluies torrentielles qui durèrent un jour et une nuit. Tous les habitants périrent et le grand empire d’Atlantide sombra pour toujours dans la mer.

 

Autre affirmation : Tandis que le peuple de l’Atlantide sombrait dans la corruption et le matérialisme, les étoiles se sont déplacées dans le ciel,  et le soleil s’est levé en un point différent de l’horizon. Des tremblements de terre ont alors déchiré la terre. Le royaume des Atlantes fut engloutit sous un déluge d’eau qui le balaya à jamais des cartes du monde.

 

 

Tel est le mythe de l'Atlantide, forgé quatre siècles avant notre ère par le philosophe grec Platon.

 

Aujourd'hui, plus de 2 000 ans après le récit de Platon, un couple de Canadiens - Rand et Rose Flem Ath - fait revivre cette civilisation après 20 années d'études consacrées à ce paradis perdu. Abandonnant provisoirement leur maison de Nanaimo, sur l'île canadienne de Vancouver, les Flem Ath sont venus enquêter en Europe, au British Muséum de Londres.

 

 

 

C'est là, dans les salles de lecture d'une bibliothèque où maintes trouvailles avaient déjà été faites, qu'ils ont exhumé les documents leur permettant d'échafauder une hypothèse pour le moins étonnante.

En corrélant des découvertes scientifiques modernes avec d'anciens manuscrits et des cartes oubliées de tous, les Flem Ath sont peu à peu arrivés à une conclusion inattendue : les vestiges de la civilisation perdue de l'Atlantide seraient enfouis sous les glaces de l'Antarctique, depuis l'an 10000 avant J-C.

 

 

 

Selon Platon, nous savons que l'Atlantide fut effectivement détruite par un cataclysme vers 9600 avant J-C - soit environ 1000 ans avant l'avènement de la civilisation moderne. Mais Platon n'est pas le seul à rapporter ce fait. Les légendes amérindiennes, la mythologie orientale ou encore la Bible font également état de la disparition soudaine d'une terre fabuleuse et lointaine à la suite d'un déluge.

Si une civilisation aussi avancée que celle des Atlantes existait dix mille ans avant J-C, il est possible qu'elle ait prévu le cataclysme et que l'évacuation de la population ait été anticipée. Si tel n'a pas été le cas, il est néanmoins possible que certains survivants aient cherché refuge dans des terres épargnées par le raz de marée, en tout cas en altitude.

 Des sites comme le lac Titicaca,

 

 

 

 dans la cordillère des Andes, ainsi que les plateaux de Thaïlande et d'Ethiopie répondent à ce critère de sécurité. Or c'est curieusement dans ces régions qu'apparut l'agriculture, vers 9600 ans avant notre ère. Frappé par la coïncidence chronologique entre la naissance des techniques agricoles et le cataclysme fatal à l'Atlantide rapporté par Platon, les Flem Ath se sont alors interrogés : est-il possible que les survivants de l'Atlantide soient à l'origine des débuts de l'agriculture mondiale ?

 

Il est en tout cas probable que les survivants aient emporté quelques objets dans leur fuite. Ceci allait être confirmé d'une manière détournée. En 1956, Charles Hapgood eut entre les mains une très vieille carte maritime, dessinée en 1513 par un amiral turc dénommé Piri Reis.

Hapgood fut surpris de la précision du tracé de la croûte orientale de l'Amérique du Sud sur cette carte, achevée à une époque où cette partie du monde n'était pas totalement cartographiée. La surprise fut complète quand Hapgood s'aperçut que l'Antarctique figurait également sur la carte, alors que ce continent n'avait été découvert qu'en 1820, soit trois siècles plus tard ! Consultés; les experts de l'US Air Force sont restés tout aussi perplexes face à ce constat. En comparant la carte de Reis à des relevés géologiques de l'Antarctique datant de 1949, faisant apparaître les contours du continent austral avant qu'il ne soit recouvert par les glaces, ils constatèrent que les deux tracés étaient presque identiques !

 

 

Le rapport de l'US Air Force concluait que "le tracé des côtes a été relevé avant que celles-ci ne soient recouvertes par la calotte glaciaire. La précision des données qui figurent sur cette carte reste un mystère compte tenu de l'état des connaissances géographiques en 1513".

 

C'est alors que Hapgood dénicha une seconde carte "miraculeuse", celle d'Oronteus Finaeus (1531). L'ensemble de l'Antarctique y figurait, avec de nombreux détails, comme l'emplacement des montagnes, des plaines et des rivières.

 

 

Autant de particularités qui figuraient tant dans l'étude géologique de 1949 que dans les récits faits par Platon, plus de deux mille ans auparavant.

Le tracé des cartes de Piri Reis et de Finaeus, dont l'authenticité a été prouvée, s'inspirait donc de cartes très antérieures, en conséquence dessinées par un peuple disposant d'une maîtrise technique incomparable pour son époque.

Le fait que des relevés aussi détaillés soient parvenus entre les mains de cartographes du XVIe siècle accrédite la thèse des Flem Ath sur l'essaimage de survivants de l'Atlantide. Tout autre ayant fait la découverte du continent perdu l'airait fait savoir au monde entier ! Afin d'étayer plus avant leur hypothèse, les Flem Ath ont également pensé qu'une civilisation australe n'aurait nécessairement pu se développer que sous un climat tempéré et sur une terre fertile capable de nourrir une population croissante.

En déplaçant l'Antarctique sur une distance compatible avec les projections géologiques de Charles Hapgood, soit environ 3200 km au Nord du cercle polaire, on se trouve effectivement sous des latitudes permettant à un peuple de marins de prospérer...

 

 

LA PISTE EGYPTIENNE

 

L'existence de cette riche civilisation australe permettrait d'expliquer l'origine de monuments disséminés dans le monde entier et construit à l'aide de techniques si avancées sur leurs temps qu'elles défient toute explication rationnelle. C'est notamment le cas des temples d'Amériques latine, attribués aux civilisations aztèque, olmèque, toltèque ou maya, mais dont l'édification a exigé des moyens et une science sans rapport avec ceux de leur époque.

Cette thèse peut également s'appliquer aux pyramides d'Egypte car, selon de récentes études archéologiques, il semblerait que le Sphinx de Gizeh soit bien plus ancien qu'on ne le pensait. En témoignent sur le site les traces d'une érosion liée à des pluies diluviennes n'ayant pu survenir qu'il y a 10000 ans, ce qui va à l'encontre de l'attribution des pyramides à la civilisation égyptienne, née en 4000 seulement avant J-C.

 

La disposition des pyramides suggère ce lien avec l'Atlantide. Des scientifiques ont en effet découvert que les pyramides d'Egypte étaient disposées suivant un schéma correspondant exactement à celui d'une zone de la constellation d'ORION, telle que celle-ci apparaissait en 10450 avant J-C, c'est à dire bien avant les débuts de la civilisation égyptienne... mais à une époque pouvant être celle des Atlantes.

 

La disposition des pyramides est calquée sur celle de la constellation du Baudrier d’Orion, telle qu’elle se présentait 10450 ans avant J.C. La Constellation d’Orion ci-dessous :

 

 

Telle que l’on peut la voir dans le ciel ! On retrouve la ceinture du Baudrier. Une telle connaissance de l’astronomie semble indiquer qu’une civilisation savante préexistait à l’ère moderne.

 

UN DESASTRE IMMINENT ?

 

Ces débats historiques n'ont rien de rassurant. En effet, on sait que la carte stellaire évolue chaque année (en fait cette évolution devient significative au terme d'un cycle d'environ 2600 ans) car la Terre ne tourne pas exactement sur son axe, mais en oscillant très légèrement. Cette oscillation du globe produit également une inversion des pôles magnétiques : le champ magnétique terrestre s'inverse environ tous les 500 000 ans.

Etant donné que ce phénomène est intervenu pour la dernière fois il y a 780000 ans environ, les scientifiques pensent qu'il se reproduira à plus ou moins court terme. (Faut-il comprendre que nous sommes en sursit) Or ce basculement risque d'être soudain et de s'accompagner de toute une série de désastres : conditions météorologiques anormales, perturbation des lignes magnétiques suivies dans leur trajet les espèces animales migratoires...

 

 Ce phénomène pourrait également donner lieu à d'importants déplacements de la croûte terrestre, comme l'avait imaginé Hapgood. Allons-nous vers un cataclysme d'une ampleur comparable à celui qui fut à l'Atlantide et qui fit disparaître pour toujours ce royaume dans un linceul de glace ?

 

 

 

 

Le Triangle des Bermudes

(Le triangle maudit)

 

 

 

Les disparitions mystérieuses :

 

Situé entre Miami, Porto Rico et les îles des Bermudes, ce coin de l’Océan Atlantique est celui qui fait tant parler de lui, de tous les lieux énigmatiques, il est le plus mystérieux pour les narrateurs (conteurs) et même toute personne qui s’intéresse aux énigmes : je veux parler bien évidemment du Triangle des Bermudes, appelé aussi : « Triangle maudit ».

 

 

Cette zone est composée de plusieurs îles traversées par le tropique du Cancer qui s’étend un peu plus au Nord de Cuba et de Haïti.

 

 

Bateau disparu en  1918 avec 300 marins

 

               

Dans ce triangle depuis plus d’un siècle, de nombreuses disparitions inexpliquées d’avions et de navires, souvent caractérisées par leur soudaineté et l’absence d’épave ? Partant de ce constat, de nombreux scientifiques et journalistes ont enquêté sur les causes de ces disparitions, sans jamais trouver d’explications fiables.

 

Le triangle des Bermudes est le secteur le plus mystérieux de notre planète pour l’aéronautique et la marine. De nombreux mythes et légendes accompagnent des théories plus pragmatiques et des témoignages mystérieux. Bien que quelques catastrophes ont pu être expliquées, il faut quand même constater que personne n’arrive à comprendre vraiment ce qu’il se passe dans ce secteur ? Le nombre de disparitions et leurs caractéristiques (disparitions soudaines, et souvent aucune trace retrouvée, soulèvent de nombreuses questions.

 

Du fait de la fréquentation aérienne et maritime de ce secteur, et de sa météo imprévisible, on peut tout imaginer !

 

Le Triangle des Bermudes :

 

 

 a sans conteste des caractéristiques magnétiques peu communes, qui peuvent perturber les instruments ou faire perdre le Nord à un pilote, on le verra dans certains témoignages. Les dangers pourraient venir aussi des fonds marins ?      

Peut-être faut-il chercher une explication dans plusieurs de ces théories à la fois. Il n’est d’ailleurs pas rare que la cause d’un accident d’avion soit une combinaison de plusieurs éléments, dont certains pourtant très improbables.

 

Le triangle des Bermudes a été le théâtre d’une série de phénomènes inquiétants, restés inexpliqués. Certains pensent que cette portion d’Océan abrite quelque chose d’inconnu et de terrifiant, responsable de la disparition de nombreux navires et avions, ainsi que de centaines de personnes. D’autres parlent même d’extra terrestres, car selon leur témoignage, des soucoupes volantes auraient été aperçues au-dessus du triangle (vidéo que l’on peut voir sur Internet, que j’ai moi-même enregistrée dans mes favoris) !

 

Parmi des quantités de disparitions, voici certains témoignages :

Le premier évènement étrange remonterait à 1840, bien qu’il ne soit pas impossible que d’autres phénomènes aient eu lieu bien avant.

 

Le fait marquant dans l’un de ces témoignages (puisque des traces ont été retrouvées) est un navire français en route pour la Havane

 

 

 

Fut retrouvé dans le triangle sans son équipage le seul survivant : un petit canari qui chantait joyeusement dans sa cage !

 

En 1880 : un autre navire école quitta les Bermudes avec un équipage de 300 hommes, il disparut presque aussitôt sans laisser aucune trace.

 

En 1902 : un trois mats allemand  qui avait largué les amarres à Cuba pour se diriger vers le Chili, fut retrouvé avec ses mats cassés, mais là encore, l’équipage avait disparu ? Tout le reste du bateau était intact, y compris sa cargaison.

 

En 1938 : un autre navire avec 300 personnes à bord disparu également ; aucune trace. Quelques années plus tard, un autre cargo    lui aussi disparu.

A partir de 1944, ces phénomènes se font plus fréquents. Bien sûr on ne peut s’empêcher de penser que nous sommes en période de guerre …

 

Cependant cette année là, cinq bombardiers sur sept disparaissent au-dessus du Triangle : Les membres de l’équipage  des deux avions rescapés racontèrent que leurs camarades avaient mystérieusement disparus, après qu’une force inconnue avait fait cahoter leurs appareils ;  donc là, évidemment, la guerre ne semble pas en cause d’autant que depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, la disparition de nombreux avions et navires ont eux aussi disparu dans le triangle.

En 1963, après avoir levé l’ancre à Norfolk   un grand pétrolier   disparaît lui aussi à jamais dans l’Océan. Théoriquement, on sait qu’un naufrage laisse toujours des traces que l’on retrouve : un morceau de navire, une cargaison ou autres objets, hors dans le triangle des Bermudes : aucune trace de ce type n’a été retrouvée, et c’est cette particularité qui rend mystérieux ces nombreux naufrages dans cette région.

 

La liste s’agrandit … le 5 Décembre 1945 en début d’après-midi :   une patrouille de Avenger TBM décollent de Fort Lauderdale en Floride pour un vol d’entraînement. A 15 h 45, la tour de contrôle de la base reçoit un message du chef d’escadrille : « Nous sommes perdus, aucune terre en vue … Les instruments ne répondent plus … » Ils reçoivent l’ordre de se diriger vers l’Est, mais les quatre appareils envoient un message bouleversant : « Impossible de savoir où est l’Ets, tout est étrange, même l’Océan a l’air bizarre, nous ne savons pas quelle est notre position. On a l’impression … »  puis ce fut le silence radio ! On ne reverra jamais plus l’escadrille, malgré de longues recherches effectuées, ni aucune trace des appareils.

Parmi les disparitions inexpliquées d’équipages de navires, celle de la Mary Céleste   occupe une place particulière. Autour de son histoire, des légendes et des croyances n’ont cessé de fleurir. En effet, dans les annales des disparitions en mer, le nom de la Mary Céleste est resté célèbre. Cette énigme n’a toujours pas été résolue, et contribue largement à entretenir le mythe des vaisseaux fantômes. L’histoire de la marine fourmille de mystères semblables à celui de la Mary Céleste. Des dizaines de navires ont été ainsi abandonnés, soudainement et sans raison apparente, par des équipages que l’on n’a jamais revus.

Le 5 Novembre 1872, Mary Céleste navire quitte le port de New York avec un chargement d’alcool à destination de Gênes (en Italie) et le 5 Décembre : entre les Açores et la côte portugaise, la frégate britannique DEI GRATIA remarque un navire qui navigue bizarrement. Intrigué, le capitaine de la frégate décide d’aller jeter un coup d’œil à bord du  Mary Céleste et découvre que l’équipage a disparu. La dernière mention du journal de bord, écrite 15 jours auparavant, semble confirmer que jusqu’à ce moment là, tout se passait bien. Sur le bateau tout était en ordre, mais toute trace de vie humaine avait disparue. Toutefois, les experts découvrent que la coque a été endommagée par un objet tranchant, puis certaines parties du bateau présentent des tâches sombres qui se révèleront être des tâches de sang. Néanmoins, ces quelques indices n’aident pas à faire la lumière sur le mystère de ce bateau ?

 

Bien sûr, les scientifiques qui ont étudié le cas de ces disparitions dans le Triangle des Bermudes affirment qu’on peut donner à ces évènements une explication « rationnelle » selon eux, les affaires non résolues sont celles que lesquelles nous ne possédons pas d’informations suffisantes, et d’après eux, toutes disparitions n’ont pas eu lieu à l’intérieur du triangle. De plus, les accidents se sont vérifiés sous des conditions météorologiques mauvaises …

 

Cependant, c’est loin d’être l’avis de tout le monde : Il faut savoir que les profondeurs de l’Océan à certains endroits sont entre 10 000 km et plus ! Hors, pour le moment nous n’avons pas encore réussit à descendre dans ces grandes profondeurs (environ 8000 tout au plus) ! Alors séismes, rencontres mystérieuses,  ou autres évènements surnaturels ? Pourquoi là encore tout le monde n’est pas d’accord ? En effet, certains avions auraient lancé des SOS avant de disparaître du genre : « Quelque chose s’approche de nous … on ne voit plus rien … à part une lumière blanche intense qui semble comme nous attirer… » Puis plus rien !

Signalons au passage que ce genre de disparitions mystérieuses, plus récent que celui des Bermudes : la mer du diable (DEVIL’S SEA) au Sud du Japon n’est pas avare en disparitions mystérieuses, mais nous sommes semble-t-il dans les plus grandes profondeurs du globe.

 

 

La Tour de BABEL

 

 

 

 

La tour de Babel a-t-elle vraiment existé ? La photo ci-dessus serait de 1563.

 

Toutes les races et les langues seraient apparues, selon la légende, lors de l’édification de la tour de Babel. Légende, soit, mais qui repose tout de même sur quelques fondements historiques réels …  

 

La légende de la Tour de Babel est à la base un récit biblique. Après la création du monde, tous les hommes se servaient de la même langue. Installés dans la vallée de Sennaar ou l’on trouve la bible  (qu'on situerait aujourd'hui en Irak), ils réussirent en cuisant la terre à façonner les premières briques, et décidèrent de tous s'installer au même endroit. Puis leur vint l'idée de construire une tour, qui monterait jusqu'aux cieux, afin de pouvoir loger toute l'humanité dans une seule et même cité. Mais le Dieu Yahvé, craignant que cet édifice ne permette ensuite aux hommes de construire tous les projets les plus irréalisables, décida de leur compliquer sérieusement la tâche, en punition de leur vanité. Ainsi, dans la Genèse Yahvé s’employa à disperser les hommes sur toute la surface de la terre et de diversifier tous les peuples en leur donnant un langage propre. Aucune cohésion n’étant possible entre eux, la tour de Babel resta inachevée. Pourtant, de nombreux historiens ont réalisé un parallèle très sérieux entre le mythe de la tour de Babel et les premières cités mésopotamiennes. En effet, on retrouve de nombreuses ziggourats  le long des rives de la Mésopotamie.

 

La Mésopotamie est un terme qui vient du grec et qui signifie : "entre les fleuves". Ces fleuves sont le Tigre et l'Euphrate. Actuellement, la plus grande partie de la Mésopotamie se trouve en Irak. (Photo ci-dessus)

Elle comprend deux secteurs. D'une part, la haute Mésopotamie, ou Djézireh (en arabe l'«île»), au nord de Bagdad, zone en partie désertique et caillouteuse, avec des oasis (la haute Mésopotamie est partagée entre la Turquie, l'Irak et la Syrie). D'autre part, la basse Mésopotamie, vaste plaine marécageuse, drainée par les deux fleuves formant un delta aboutissant au Chatt al-Arab et occupant un golfe en voie de comblement depuis 7'000 ans. La basse Mésopotamie est tout entière comprise en Irak.

Les ziggourats  sont d’immenses structures de pierres (briques) pouvant faire penser à une pyramide et atteignant des hauteurs de plusieurs dizaines de mètres. Elles sont composées de plusieurs plates-formes aux dimensions décroissantes, comme les représentations populaires de la tour de Babel. Là où les historiens et scientifiques restent encore sans certitude, c’est sur la disposition de certaines de ces ziggourats, qu’on retrouve dans le monde entier, et qui sont disposés exactement de la même manière. De plus, la plus grande de ces ziggourats se trouve aujourd’hui à l’emplacement de l’antique ville mésopotamienne de Babylone (voir la carte ci-dessus) sur les rives de l’Euphrate.

Cette tour appelée « Etemenanki » (la demeure du ciel et de la terre) aurait pu servir de modèle à la légende biblique. Nous ne saurons jamais si la tour située au centre de l’une des enceintes de Babylone fut effectivement la mythique tour de Babel ? On y accédait par un long escalier, à mi parcours duquel se trouvaient des sièges pour se reposer pendant la fatigante ascension. La construction de la tour de Babel remonterait à 115 années après le déluge universel : elle aurait mesuré environ 90 mètres de haut, mais la légende raconte qu’elle mesurait bien : 5500 m  de haut et des dizaines de mètres de circonférences, et aurait compté dans les 100 grilles de cuivre et 480 étages.

      

 

 Le MACHU PICCHU

 

Située à 2300 mètres d’altitude, c'est une cité divine parmi les nuages. Le site avec ses ruines, représente probablement le lieu le plus connu du Pérou.

 

Carte du Pérou

 

Cette vieille cité est enveloppée par les brouillards et les nuages. 

 

 

C’est en 1911 qu’un archéologue américain découvre le célèbre site. Entourée par une dense végétation, et bien dissimulée dans les cimes, cette cité était située à 500 m du Rio Urubamba qui révélait les hautes connaissances et les incroyables moyens qui possédaient les Incas. Puis, la cité fut soudainement abandonnée, toutefois elle a été laissée intacte par ses habitants – c’est pourquoi elle a été parfois considérée comme une sorte de Pompéi précolombienne : on n’a cependant retrouvé aucune traces d’évènements dramatiques qui pourraient expliquer la fuite, précipitée des habitants. Le Machu Picchu est une citadelle fortifiée, comportant une seule entrée. Elle était étagée sur plusieurs terrasses qui étaient irriguées et cultivées : la ville était approvisionnée en eau, grâce à un système sophistiqué d’aqueducs qui alimentaient 16 fontaines.

 

 

Le Mont Ararat

 

 

 

Le Mont Ararat en Turquie, situé à 5 165 mètres d’altitudes : photo n° 3 les débris de l’arche de Noé, reconstitués par Greenpeace pour alerter sur les désastres climatiques imminents.

 

La légende dans la Bible, identifie cette montagne comme l’endroit où l’arche de Noé atteint la terre ferme après le déluge. Un déluge, une immense arche, un grand songe … rêve tout humain de retrouver cette embarcation extraordinaire de 133 mètres de long, 32 de large et sa hauteur 13 mètres. Les vestiges du navire de Noé se trouveraient en Anatolie sur le Mont Ararat, un des principaux volcans de Turquie, situé dans une zone instable, à la frontière avec l’Arménie et l’Iran. Cependant, personne n’a jamais fait de découverte aussi exceptionnelle. Pour grimper à la montagne, il faut au moins 4 jours (aller-retour au sommet). La meilleure période pour l'ascension du mont est entre le mois d'août et septembre. Le vrai danger commence, à partir de 4.500 m car la température est de minimum -8 degrés.  Possible épave de navire prise dans une coulée de lave, à 2000 mètres d'altitude sur les flancs du Mont Ararat. Serait-ce le vestige de l'Arche de Noé ?

 

 

 

LES ALIGNEMENTS DE CARNAC

 

Des milliers de Menhir et onze alignements forment le site de Carnac dans le Morbihan.

 

Il s'agit d'un site d'alignements mégalithiques exceptionnel constitué d'alignements de menhirs, de dolmens et d'allées couvertes et réparti sur plus de quatre kilomètres. Les alignements de Carnac sont les ensembles mégalithiques les plus célèbres et les plus impressionnants de cette période avec près de 4 000 pierres levées.

Depuis 1991, le site est fermé au public en été et libre d'accès en hiver afin de préserver et de conserver le site. En effet, le libre accès provoquait surtout en période estivale de nombreuses dégradations des menhirs (chutes) et de la lande. Les légendes du site de Carnac sont nombreuses !

Le Site montre encore le grand tumulus de Saint-Michel  long de 120 mètres, et haut de 12, à l’intérieur duquel se trouvent plusieurs chambres funéraires. La datation des pierres est assez délicate, car il faut se méfier de l’érosion et des ajouts postérieurs comme les sculptures, dont il est difficile de dire si elles sont l’œuvre du peuple qui a érigé les menhirs ou de leurs successeurs. On estime que les monuments de Carnac ont été élevés par plusieurs générations qui se sont succédées. Menhirs et dolmens avaient en tout cas des fonctions différentes. Le dolmen est une sépulture.

On trouve presque systématiquement des tombes creusées à ses pieds. Le menhir est un édifice commémoratif ou votif. Dans les alignements, les menhirs sont placés par ordre décroissant et chaque série forme un angle précis avec la précédente. Les théories relatives à une utilisation calendaire et astronomique sont renforcées par le fait que de nombreux menhirs isolés sont percés d’un trou, qui a pu être un repère de visée.

Orientés vers le lever de soleil à l'équinoxe et au solstice d'été, les menhirs pourraient avoir servi à la fois de repères pour les cycles agricoles, et d'observatoire céleste.

 

 

 Partant du constat que les calendriers primitifs sont semi-lunaires, le professeur A. Thom a même (presque) démontré que Carnac serait un observatoire du satellite terrestre.

 

 


Le grand menhir de Locmariaquer

 

 

 

Haut de 23 mètres, il serait l'élément central d'un grand dispositif destiné à prévoir les éclipses, ce qui n'a rien d'impossible, étant donné l'exceptionnelle clarté du ciel breton par beau temps. Plusieurs menhirs, éloignés de 10 à 15 kilomètres forment des points d'axe pour l'observateur.

 

Ces menhirs, comme celui de Quiberon,  se trouvent en tout cas correspondre, par leur emplacement, à des phases lunaires précises. L'ensemble du système constituerait ainsi un instrument d'observation étalé sur plusieurs kilomètres.

 

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