Momo vous demande de lui faire part de vos plus belles histoires d’animaux afin qu'elles soient relatées dans « Le Petit Monde de Momo » ... à vos claviers pour me les raconter...

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Vous avez recueilli un animal blessé ou abandonné ? Qu’avez-vous fait ?

A part des gros bisous bien sûr !!!

       

  

 

Ne les abandonnez pas, ne les maltraitez pas non plus !

 

 

En attendant vos récits, voici quelques histoires d'animaux ...

 

Des histoires d'animaux il y en a beaucoup et ce sera avec plaisir  que je publierai les vôtres si vous aussi vous avez une histoire drôle,  belle ou touchante à nous raconter. Déjà vous avez pu avoir un petit aperçu de belles histoires dans la rubrique "Animaux médiums".

 

Les premières qui me sont racontées sont sur les Dauphins.

 

Celle qui va démarrer cette rubrique pourrait s'appeler : Les dauphins sauveurs !

 

Beaucoup le savent, les dauphins ont la réputation d'aimer la compagnie des hommes (je ne sais pas si tous ces derniers le leur rendent bien ? Pourtant certains je suis sûre que oui).

Cependant, ces pauvres bêtes sont souvent victimes des abus de l'homme et en particulier des pêcheurs car bon nombre périssent dans  leurs filets. On devrait quand même  surveiller et y réfléchir davantage, en interdisant  les pêches intensives dévastatrices pour beaucoup d'espèces et punir sévèrement les massacres.

 

Cependant, c'est une belle histoire que celle-ci qui montre que bien souvent l'animal vaut mieux que certains hommes !

 

Cette histoire la voici ...

 

Un père et son fils firent une sortie en mer dans un zodiac au large de l'île d'Ouessant. Soudain, le ciel se couvrit, les flots s'agitèrent, la tempête était là, violente comme elle sait l'être en Bretagne !  Des vagues atteignant plusieurs mètres de haut secouèrent l'embarcation. Le père et le fils crurent leur dernière heure arrivée, et tentèrent de faire route vers le Nord.

 

Mais voilà qu'une troupe de dauphins arrive.

 

Quatre se positionnent de chaque côté du bateau, d'autres devant et derrière puis entrainent les passagers vers le Sud.

 

Le père sachant qu'on ne peut lutter contre sa destinée, surtout en pareille circonstance, laisse faire les dauphins. Après une demi-heure de cet accompagnement, les deux hommes se retrouvèrent  sur une mer plate où ne souffle qu'un vent léger. Ils étaient hors de danger !

 

Les dauphins alors s'éloignèrent du bateau aussi vite qu'ils étaient venus.

 

 

Heureusement certains hommes font tout pour préserver ces animaux, et d'autres  espèces ... l'histoire suivante en est une preuve.

 

J'ai lu un jour que les Russes publièrent une histoire originale et authentique à l'automne 1967.

C'est une autre histoire de dauphins !

 

Des pêcheurs travaillant sur la mer Caspienne virent soudain leur petit bateau entouré de nombreux dauphins qui sautaient et resautaient hors de l'eau, comme ils savent si bien le faire. Sauf que là, ça semblait plus précis, plus insistant, ils émettaient leurs cliquetis si caractéristiques mais d'une manière beaucoup plus intense, semblant vouloir  vraiment attirer l'attention à tout prix  ! Sentaient-ils un danger ? Certainement ! Mais lequel ? En pleine mer que faire ? Comme les pêcheurs semblaient sans doute ne pas réagir aussi vite que les dauphins semblaient leur faire comprendre, ces derniers entreprirent de pousser l'embarcation vers une grosse bouée.

 

Comprenant enfin le message, à savoir qu'il se passait sûrement quelque chose, les pêcheurs mirent la voile. Arrivés à la bouée, ils s'aperçurent qu'un bébé dauphin était prisonnier du câble qui le retenait. Ils firent ni une, ni deux et le libérèrent immédiatement avec plaisir car ils eurent en même temps la joie de faire un peu de bien à ces animaux réputés pour leur compassion envers les naufragés. Puis tous les dauphins repartir avec le petit en faisaient mille pirouettes dans la mer. Sans doute leur façon  à eux de remercier les hommes d'avoir sauver leur petit. Ouf !!!

 

 

 

Pour terminer avec les dauphins car il y a aussi d'autres histoires d'animaux ...

 

Voici les Dauphins appelés aussi les Saints Bernard de la mer !

 

Des histoires de dauphins il y en a beaucoup c'est vrai, malheureusement ce serait trop long de toutes les raconter. Alors pour terminer, voici une histoire exemplaire vraie d'un dauphin accourant pour sauver une nageuse sous marine.

 

Elle évoluait à quinze mètres de profondeur quand soudain elle fut prise d'une crampe qui la plia en deux.

 

Sachant qu'il ne lui restait pas beaucoup d'oxygène dans sa bouteille, elle entreprit d'enlever sa ceinture plombée pour remonter plus vite. Elle n'y parvenait pas et commençait à s'affoler. Elle se sentait perdue quand elle ressentie le choc d'un corps sur son côté droit. Sa première pensée : un requin ? L'affolement était à son comble ... Mais heureusement il ne s'agissait pas d'un requin, mais d'un dauphin qui se glissa sous son bras.

 

Appuyant sa nageoire dans le creux de son aisselle il la remonta en quelques instants jusqu'à la surface et la déposa le plus près possible de la plage où elle put commodément se débarrasser de son matériel de plongé et se masser longuement pour faire disparaître la crampe qui l'avait prise au fond de l'eau.

 

Le dauphin ne s'éloigna pas et semblait l'attendre à quelque distance. Dès qu'elle fut de nouveau en forme, elle retourna en courant vers la mer pour le rejoindre et tous deux gagnèrent le large pour s'ébattre avec bonheur au grand soleil.

 

 

 

Une autre petite histoire assez touchante qui m'est arrivée. On aime ou on n'aime pas les souris. Personnellement, non seulement je n'en ai pas peur mais je ne leur ferai pas de mal.

Souvent nous avons vu nos chats rapporter une souris, parfois même vivante !

 

Il n'y a pas longtemps, comme à mon habitude je suis allée dans mon jardin, et j'ai aperçu ma chatte qui jouait avec quelque chose, et son frère (le chat de nos voisins, mais très souvent avec nous et à jouer avec sa sœur) était tout près d'elle et semblait regarder avec attention tout en gardant un peu ses distances !

 

De loin je ne voyais pas de quoi il s'agissait car elle est jeune et joue avec tout ce qui bouge, une feuille, un papillon ... son frère aussi d'ailleurs, mais elle l'empêchait de s'approcher ! Je me suis avancée et qu'elle ne fut pas ma surprise de voir que l'objet du jeu était un petit mulot courageux !

 

Au lieu de fuir comme beaucoup font, et que les chats rattrapent inlassablement bien sûr (le combat n'est pas loyal) lui au contraire, il était dressé sur ses deux petites pattes arrières, et avec celles de devant il faisait face sans reculer comme pour l'attaquer afin de se défendre !

 

Nous voyant arriver, même le plus doucement possible, mon mari et moi avec notre petite Vickie "Bichonne Maltaise", il n'a pas dû être plus rassuré sur le moment, les chats d'un côté, nous de l'autre ... le pauvre petit mulot devait se sentir bien entouré, mais courageusement, il essayait toujours de rester dressé devant la chatte qui effectivement reculait quand même un peu !

 

Ne souhaitant pas que ce petit courageux ne finisse de toutes façons sous les pattes ou les crocs des chats, nous nous sommes mis chacun d'un côté pour le protéger et éloigner les chats. Il a dû comprendre car au lieu de se sauver, tant que les chats étaient tout près, il restait  dressé sur ses deux petites pattes arrières ! Les chats n'étaient pas contents qu'on les éloigne, mais ils obéirent.

 

A ce moment là notre petit mulot a compris que c'était le moment de fuir sans être rattrapé par les chats. D'ailleurs j'ai pris ma minette sous le bras et elle est rentrée avec moi, son frère était reparti chez lui, quant à notre petite chienne elle a compris qu'elle devait rester en dehors de tout ça et n'a jamais approché le mulot qui a pu se sauver et se cacher dans un trou au centre d'un pied de laurier sauce où personne ne pouvait le déloger. Il a dû attendre que tout soit redevenu calme, et reprendre ses esprits  avant de retourner dans son trou à lui ! Espérons que ça lui servira de leçon et qu'il fera plus attention pour ne plus être repris par les chats ! Comme quoi chez les bêtes comme chez les humains, il y a les courageux et les autres ! Si Monsieur De La Fontaine était encore de ce monde, il en aurait sûrement fait une fable !!!

 

 

 

Une amie, qui se reconnaîtra, m'a envoyé un article véridique qu'elle a relevé sur un journal. J'aurai préféré ne pas avoir à faire ce récit, préférant les jolies histoires d'animaux qui se finissent bien.

 

J'ai longuement réfléchi et je me suis dit que malheureusement, ça faisait aussi partie de la vie, et que c'était honteux ces actes de cruautés animales, et que finalement il faut dénoncer ces tortionnaires, qu'ils se reconnaissent, et je leur dis haut et fort comme  le  pensent tous les gens qui me soutiennent dans ce site, et qui aiment les animaux : mes enfants, ma famille, mes amis ... qu'ils mériteraient ni plus ni moins, qu'on leur fasse subir le même sort.

 

Nous devrions n'avoir aucune pitié pour ces salauds, car nous sommes tous d'accord sur ce mot pour les décrire. S'ils n'aiment pas les bêtes qu'ils n'en prennent pas. Nous trouvons qu'ils ne sont pas assez punis pour des actes aussi odieux !

 

Voici donc cette histoire, mais j'espère ne pas en avoir d'autres aussi cruelles à raconter. C'est aussi l'occasion de supplier les gens de ne pas prendre d'animaux si c'est pour les rendre malheureux, les maltraiter, ou les abandonner. Rien qu'en écrivant cette histoire j'en ai les larmes aux yeux ! Et je sais que je vais aussi en attrister plus d'un. Comment peut-on faire des choses pareilles ? C'est un monstre cet homme et tous ceux qui maltraitent les innocents : enfants et animaux.

 

 

Cette histoire se passe à Origny Sainte Benoîte, dans l'Aisne.

 

Le tortionnaire d'un dalmatien de 3 ans a été interpellé  dernièrement (tant mieux, et heureusement ... qu'il soit puni sévèrement). Ce type âgé de 22 ans, domicilié dans ce même département, traînait son chien, attaché à la boule d'attelage de sa voiture, qui courait et gémissait.

 

La pauvre bête, presque morte, portait de multiples traces liées à ce supplice. Par pudeur et pour éviter de trop choquer malgré tout, je ne donnerai pas les détails du journal, mais chacun peu imaginer !

 

Cette scène insoutenable aux yeux des passants et de nombreux témoins : certains  criaient et hurlaient ; des femmes choquées fondaient en larmes et il y avait de quoi... devant les réactions suscitées par son geste, il a ramassé son animal et l'a posé sur la banquette arrière (maculée de sang) de sa voiture et s'est enfui à toute allure (d'après certains témoins le pauvre chien  devait être déjà mort). Heureusement, son numéro d'immatriculation a pu être relevé et le type interpellé.

 

D'après l'article, il est probable que l'animal "dérangeait"  en l'absence de son maître tortionnaire et qu'il y aurait eu des plaintes ? A ce moment là, il aurait fallu que cet animal soit retiré purement et simplement à son maître. Ou que lui trouve une autre solution pour ce pauvre chien sans lui imposer ces souffrances atroces.

 

Ceux qui liront cette histoire, seront probablement écœurés de savoir que certains bourreaux commettent de tels actes ! Je ne pensais quand même pas que ça puisse exister à ce point là !

 

 

Une autre histoire vraie : celle d'un étourneau sansonnet très attachant

 

 

 

J'en ai déjà parlé dans Le Petit Monde de Momo, l'étourneau (sansonnet) est un oiseau possédant la faculté étonnante d'imiter à s'y méprendre le chant des autres oiseaux entre autres : Loriot, pie, busard, caille, alouette, fauvette, mésange etc. ... Et il est capable de reproduire à la perfection des strophes entières des chansons de l'homme.

 

Si vous n'avez pas lu "Un amour d'étourneau" je vous conseille vivement de le faire.

 

Cette histoire est réelle, c'est celle de Arnie (le héros du livre) capable de reproduire les couplets d'Il était une bergère, ou Il était un petit navire. Il siffle à la perfection les premières notes de la cinquième symphonie de Beethoven.

 

On pourrait commencer l'histoire comme ceci :

 

Il était une fois un petit étourneau tombé du nid et après plusieurs tentatives infructueuses pour l'y remettre, il fut finalement adopté par une dame nommée "Margarete" (ça se passe en Angleterre). C'est elle qui l'a élevé et qui lui a tout appris : à se percher, à voler et ... à parler !

 

Ne nombreuses fois elle a essayé de le rendre à la nature, mais rien à faire, il préférait le steak et le maïs en boîte, aux vers et aux insectes. C'est ainsi qu'au fil des jours elle lui a appris à vivre tout simplement et il est resté près d'elle jusqu'à la fin.  Lisez cette histoire, elle est drôle, touchante, intéressante, vous ne serez pas déçu, si toutefois vous le trouvez encore en librairie. Il date de 1985.

 

 

Vous aussi si vous le souhaitez, racontez nous vos plus belles histoires d'animaux !

Les plus belles seront publiées...

 

 

Quelques-unes de vos plus belles histoires d'animaux... ICI !

 

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